Le policier a pris un coup de tête au moment où il s'apprêtait passer les menottes à l'individu excité
VAL-DE-REUIL (Eure). L'homme d'une trentaine d'années était allongé par terre, rue Courtine à Val-de-Reuil. Il était fortement alcoolisé. Un habitué pour les policiers qui le place régulièrement en cellule de dégrisement pour ivresse sur la voie publique.
Samedi vers 17h30, c'est un appel à police-secours qui a fait intervenir une nouvelle fois les policiers. Cette fois, l'individu était particulièrement excité et véhément. A tel point qu'au moment où les gardiens de la paix ont tenté de le menotter, par sécurité, pour le conduire à l'hôpital, il a porté un violent coup de tête au niveau du nez d'un des policiers.
Dégrisement et garde à vue
Saignant abondamment, ce dernier a dû aller se faire soigner à l'hôpital. Aucune fracture n'a été diagnostiquée, seulement des contusions. Le médecin lui a délivré un jour d'interruption totale de travail (ITT). Il a par ailleurs déposé plainte pour violences volontaires sur agent de la force publique.
Son agresseur a été placé en dégrisement avant de pouvoir être auditionné dans le cadre d'une garde à vue. Aux enquêteurs, il a déclaré ne se souvenir de rien mais il n'a pas pour autant réfuté le fait qu'il a pu être violent.
Il avait pincé le sein d'un policier...
L'homme est finalement ressorti du commissariat avec une convocation devant le tribunal correctionnel d'Evreux pour le mois de février prochain. Il sera également jugé pour d'autres faits. Il y a quelques mois, le rolivalois avait pincé le bout des seins d'un fonctionnaire qui l'avait ramené au commissariat en état d'ébriété. Entendu sur cette affaire-là aussi, il a reconnu les faits.
Samedi vers 17h30, c'est un appel à police-secours qui a fait intervenir une nouvelle fois les policiers. Cette fois, l'individu était particulièrement excité et véhément. A tel point qu'au moment où les gardiens de la paix ont tenté de le menotter, par sécurité, pour le conduire à l'hôpital, il a porté un violent coup de tête au niveau du nez d'un des policiers.
Dégrisement et garde à vue
Saignant abondamment, ce dernier a dû aller se faire soigner à l'hôpital. Aucune fracture n'a été diagnostiquée, seulement des contusions. Le médecin lui a délivré un jour d'interruption totale de travail (ITT). Il a par ailleurs déposé plainte pour violences volontaires sur agent de la force publique.
Son agresseur a été placé en dégrisement avant de pouvoir être auditionné dans le cadre d'une garde à vue. Aux enquêteurs, il a déclaré ne se souvenir de rien mais il n'a pas pour autant réfuté le fait qu'il a pu être violent.
Il avait pincé le sein d'un policier...
L'homme est finalement ressorti du commissariat avec une convocation devant le tribunal correctionnel d'Evreux pour le mois de février prochain. Il sera également jugé pour d'autres faits. Il y a quelques mois, le rolivalois avait pincé le bout des seins d'un fonctionnaire qui l'avait ramené au commissariat en état d'ébriété. Entendu sur cette affaire-là aussi, il a reconnu les faits.