7h40, hier mercredi. La formation de circulation routière de l'hôtel de police de Rouen s'est positionnée rue Garstedt, à Maromme, (Seine-Maritime) pour un contrôle de vitesse. Dans sa jumelle laser, le policier aperçoit un véhicule qui roule à 81 km/h au lieu de 50. Il est donc en infraction.
Les fonctionnaires s'apprêtent donc à intercepter le contrevenant. Mais celui-ci, à la vue des uniformes, ne s'arrête pas. Il continue tranquillement sa route. Les policiers se lancent à sa poursuite et finissent par le stopper un peu plus loin. Après le rituel "police nationale, vos papiers !", les vérifications. Le conducteur décline son identité : 47 ans, domicilié à Maromme.
Le permis, svp ? L'affaire se complique. Il apparaît rapidement que le quadragénaire fait l'objet d'une annulation de permis. Sa voiture n'est pas assurée non plus et le contrôle technique est périmé. De plus, le conducteur présente toutes les caractéristiques de l'ivresse : l'éthylotest affiche un taux d'alcoolémie de 1,04 gramme par litre de sang.
Ramené à l'hôtel de police, l'automobiliste devra s'expliquer un peu plus tard avec les policiers de la brigade des accidents et délits routiers (Badr), après un passage par la cellule de dégrisement. La note risque d'être salée : refus d'obtempérer, infraction à la vitesse, défaut de permis, d'assurance et de contrôle technique, et conduite sous l'empire d'un état alcoolique.
Les fonctionnaires s'apprêtent donc à intercepter le contrevenant. Mais celui-ci, à la vue des uniformes, ne s'arrête pas. Il continue tranquillement sa route. Les policiers se lancent à sa poursuite et finissent par le stopper un peu plus loin. Après le rituel "police nationale, vos papiers !", les vérifications. Le conducteur décline son identité : 47 ans, domicilié à Maromme.
Le permis, svp ? L'affaire se complique. Il apparaît rapidement que le quadragénaire fait l'objet d'une annulation de permis. Sa voiture n'est pas assurée non plus et le contrôle technique est périmé. De plus, le conducteur présente toutes les caractéristiques de l'ivresse : l'éthylotest affiche un taux d'alcoolémie de 1,04 gramme par litre de sang.
Ramené à l'hôtel de police, l'automobiliste devra s'expliquer un peu plus tard avec les policiers de la brigade des accidents et délits routiers (Badr), après un passage par la cellule de dégrisement. La note risque d'être salée : refus d'obtempérer, infraction à la vitesse, défaut de permis, d'assurance et de contrôle technique, et conduite sous l'empire d'un état alcoolique.