Un vigile employé par une société de sécurité chargée de la surveillance du magasin Le Printemps à Rouen (Seine-Maritime) a été interpellé en flagrant délit de vol dans la nuit de 24 au 25 mai.
Son employeur avait quelques suspicions et soupçonnait l'agent de sécurité de se servir dans le magasin pendant ses heures de travail, la nuit et les jours fériés. Forts de ces éléments, une surveillance discrète a été mise en place avec le concours de la brigade anticriminalité (Bac), vendredi dernier. Les policiers se tiennent à proximité du magasin, rue du Gros Horloge et rue aux Juifs.
Quatre vols en trois semaines
Quand soudain, ils remarquent vers 1 heure du matin, l'arrivée d'une Peugeot 207, avec à son bord deux femmes. Le véhicule se gare dans l'arrière cour du Printemps. A cet instant, les policiers aperçoivent un homme en train de charger deux gros sacs sur les sièges arrières. La 207 repart tranquillement. Elle est interceptée un peu plus loin, à l'angle de la rue Saint-Lô et rue Jeanne-d'Arc, par les policiers.
La conductrice et sa passagère, ainsi que le véhicule sont ramenés à l'hôtel de police, tandis qu'un second équipage de la Bac va chercher le vigile sur son lieu de travail où il est interpellé.
Lors de sa garde à vue, l'agent de surveillance âgé de 30 ans et demeurant Rouen, a reconnu être l'auteur d'au moins quatre vols au préjudice du Printemps depuis le 27 avril dernier date de son embauche.
Il volait que des belles choses
Dans son véhicule, les policiers ont retrouvé non seulement les marchandises volées dans la nuit du 24 au 25 mai, mais aussi celles provenant des vols précédents : chaussures en cuir, polos de grandes marques, des parfums de luxe, de la maroquinerie... Il y en avait pour environ 15.000 euros, sans compter les marchandises - que des belles choses de valeur - qui ont été revendues sous le manteau.
Il expliquait à ses "clients", pour ne pas éveiller leurs soupçons, qu'il achetait cette marchandise, soi-disant contrefaite, selon lui, sur le marché aux puces à la porte Clignancourt.
Remis en liberté à l'issue de leur garde à vue, le vigile et sa compagne âgée de 24 ans sont convoqués devant le tribunal correctionnel à l'audience du 14 août prochain. La voiture du couple a été en attendant confisquée et la marchandise récupérée.
Son employeur avait quelques suspicions et soupçonnait l'agent de sécurité de se servir dans le magasin pendant ses heures de travail, la nuit et les jours fériés. Forts de ces éléments, une surveillance discrète a été mise en place avec le concours de la brigade anticriminalité (Bac), vendredi dernier. Les policiers se tiennent à proximité du magasin, rue du Gros Horloge et rue aux Juifs.
Quatre vols en trois semaines
Quand soudain, ils remarquent vers 1 heure du matin, l'arrivée d'une Peugeot 207, avec à son bord deux femmes. Le véhicule se gare dans l'arrière cour du Printemps. A cet instant, les policiers aperçoivent un homme en train de charger deux gros sacs sur les sièges arrières. La 207 repart tranquillement. Elle est interceptée un peu plus loin, à l'angle de la rue Saint-Lô et rue Jeanne-d'Arc, par les policiers.
La conductrice et sa passagère, ainsi que le véhicule sont ramenés à l'hôtel de police, tandis qu'un second équipage de la Bac va chercher le vigile sur son lieu de travail où il est interpellé.
Lors de sa garde à vue, l'agent de surveillance âgé de 30 ans et demeurant Rouen, a reconnu être l'auteur d'au moins quatre vols au préjudice du Printemps depuis le 27 avril dernier date de son embauche.
Il volait que des belles choses
Dans son véhicule, les policiers ont retrouvé non seulement les marchandises volées dans la nuit du 24 au 25 mai, mais aussi celles provenant des vols précédents : chaussures en cuir, polos de grandes marques, des parfums de luxe, de la maroquinerie... Il y en avait pour environ 15.000 euros, sans compter les marchandises - que des belles choses de valeur - qui ont été revendues sous le manteau.
Il expliquait à ses "clients", pour ne pas éveiller leurs soupçons, qu'il achetait cette marchandise, soi-disant contrefaite, selon lui, sur le marché aux puces à la porte Clignancourt.
Remis en liberté à l'issue de leur garde à vue, le vigile et sa compagne âgée de 24 ans sont convoqués devant le tribunal correctionnel à l'audience du 14 août prochain. La voiture du couple a été en attendant confisquée et la marchandise récupérée.