Le Peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie (PSIG) de Rouen a procédé dans la nuit du 18 mars vers 3 heures à l'interpellation d'une équipe de cambrioleurs à Franqueville-Saint-Pierre, près de Rouen.
Au cours d'une mission de surveillance, les gendarmes sont alertés par le bruit sourd d'une alarme. S'approchant du bâtiment à l'origine du bruit, ils se retrouvent face à quatre individus qui, se sachant encerclés, sortent en force du local avec un extincteur qu'ils pulvérisent pour faciliter leur fuite, puis le jettent en direction des militaires.
Neutralisé par le pistolet à pulsions électriques
L'un d'eux, après les sommations réglementaires, fait usage du pistolet d'impulsion électronique sur l'un des auteurs.
Le tir paralyse celui-ci quelques instants mais n'empêche pas sa fuite. Les quatre individus se dispersent rapidement en plusieurs directions dans l'agglomération.
Tout en faisant appel aux renforts de la brigade locale de Boos (Seine-Maritime) et de la brigade limitrophe de Pont de l'Arche (Eure), les enquêteurs entament leur recherche. Ils repèrent une Audi A3 suspecte, stationnée dans une ruelle voisine. La présence d'humidité sous le véhicule prouve en effet qu'il est stationné depuis peu de temps à cet emplacement. Le véhicule suspect est alors placé sous surveillance.
Ecroués en attendant leur procès
Quelques minutes plus tard, deux individus s'approchent du véhicule : ils sont immédiatement interpellés par la brigade de recherche de Rouen puis placés en garde à vue. Formellement reconnus par les gendarmes du PSIG, ils reconnaissent leur participation au cambriolage.
Présentés en comparution immédiate le 19 mars 2013 devant le tribunal correctionnel de Rouen, les cambrioleurs sont écroués à la maison d'arrêt Bonne Nouvelle dans l'attente de leur procès le 22 avril prochain.
Au cours d'une mission de surveillance, les gendarmes sont alertés par le bruit sourd d'une alarme. S'approchant du bâtiment à l'origine du bruit, ils se retrouvent face à quatre individus qui, se sachant encerclés, sortent en force du local avec un extincteur qu'ils pulvérisent pour faciliter leur fuite, puis le jettent en direction des militaires.
Neutralisé par le pistolet à pulsions électriques
L'un d'eux, après les sommations réglementaires, fait usage du pistolet d'impulsion électronique sur l'un des auteurs.
Le tir paralyse celui-ci quelques instants mais n'empêche pas sa fuite. Les quatre individus se dispersent rapidement en plusieurs directions dans l'agglomération.
Tout en faisant appel aux renforts de la brigade locale de Boos (Seine-Maritime) et de la brigade limitrophe de Pont de l'Arche (Eure), les enquêteurs entament leur recherche. Ils repèrent une Audi A3 suspecte, stationnée dans une ruelle voisine. La présence d'humidité sous le véhicule prouve en effet qu'il est stationné depuis peu de temps à cet emplacement. Le véhicule suspect est alors placé sous surveillance.
Ecroués en attendant leur procès
Quelques minutes plus tard, deux individus s'approchent du véhicule : ils sont immédiatement interpellés par la brigade de recherche de Rouen puis placés en garde à vue. Formellement reconnus par les gendarmes du PSIG, ils reconnaissent leur participation au cambriolage.
Présentés en comparution immédiate le 19 mars 2013 devant le tribunal correctionnel de Rouen, les cambrioleurs sont écroués à la maison d'arrêt Bonne Nouvelle dans l'attente de leur procès le 22 avril prochain.