Une pollution de l'air par les particules en suspension est prévue sur la Seine-Maritime, le Calvados et la Manche pour demain dimanche 31 mars, annonce Atmo, l'organisme chargé de la surveillance de la qualité de l’air en Normandie.
Ces particules sont d'origine locale ou plus lointaine, leur composition peut être très variée : naturelle ou liée à l'activité humaine (chauffage, industrie, trafic, agriculture).
La procédure d'information et de recommandations pour les particules en suspension est donc déclenchée pour ces trois départements.
Ces particules sont d'origine locale ou plus lointaine, leur composition peut être très variée : naturelle ou liée à l'activité humaine (chauffage, industrie, trafic, agriculture).
La procédure d'information et de recommandations pour les particules en suspension est donc déclenchée pour ces trois départements.
[Météo de l'air] 🌬️
— Atmo Normandie (@AtmoNormandie) March 29, 2019
➡️ Les indices de #QualitéDeLAir restent moyens à médiocres aujourd'hui dans les agglos de #Normandie.
➡️ Demain, #IndiceAtmo bon estimé à #Alençon et moyen à médiocre dans les autres agglos.
Plus d'infos : https://t.co/Ec2bKHXXFe pic.twitter.com/rwwxkw4wQ9
Les recommandations de la préfecture
Aux personnes vulnérables (1), il est vivement recommandé : de limiter les activités physiques et sportives autant en plein air qu’à l’intérieur, de respecter son traitement médical et en cas de symptômes ou d’inquiétude, de prendre conseil auprès de son pharmacien ou de consulter son médecin.
Il convient et de ne pas aggraver les effets de cette pollution en ajoutant des facteurs irritants : fumée de tabac, utilisation de solvants en espace intérieur, chauffage au bois, déplacements sur les grands axes routiers et à leurs abords aux périodes de pointe.
Afin de contribuer à la réduction des émissions de particules en suspension, la préfète recommande :
• Aux usagers de la route, de privilégier le recours au covoiturage, de favoriser les déplacements en transports en commun, d’abaisser sa vitesse de 20 km/h sur les routes départementales, les quatre voies et les autoroutes.
• Aux particuliers, de limiter le recours aux feux de cheminée d’agrément et de maîtriser la température de chauffage des logements.
• Aux entreprises de travaux publics, de mettre en place sur les chantiers des mesures visant à réduire les émissions de poussières; d’éviter d’utiliser de groupes électrogènes sauf raison de sécurité.
• Aux industriels, de s'assurer du bon état et du bon fonctionnement des installations de combustion et des dispositifs antipollution; de reporter, si possible, les opérations qui pourraient être à l’origine d’émissions atmosphériques polluantes inhabituelles; de reporter le démarrage d’unités à l’arrêt à la fin de l’épisode de pollution.
• Aux entreprises et administrations : d'adapter les modalités de travail de leurs agents. Si les moyens le permettent, le recours au télétravail, à l'audio conférence ou à la visioconférence est recommandé.
• Aux agriculteurs : de reporter les opérations qui pourraient être à l'origine d'émissions atmosphériques polluantes.
Il convient et de ne pas aggraver les effets de cette pollution en ajoutant des facteurs irritants : fumée de tabac, utilisation de solvants en espace intérieur, chauffage au bois, déplacements sur les grands axes routiers et à leurs abords aux périodes de pointe.
Afin de contribuer à la réduction des émissions de particules en suspension, la préfète recommande :
• Aux usagers de la route, de privilégier le recours au covoiturage, de favoriser les déplacements en transports en commun, d’abaisser sa vitesse de 20 km/h sur les routes départementales, les quatre voies et les autoroutes.
• Aux particuliers, de limiter le recours aux feux de cheminée d’agrément et de maîtriser la température de chauffage des logements.
• Aux entreprises de travaux publics, de mettre en place sur les chantiers des mesures visant à réduire les émissions de poussières; d’éviter d’utiliser de groupes électrogènes sauf raison de sécurité.
• Aux industriels, de s'assurer du bon état et du bon fonctionnement des installations de combustion et des dispositifs antipollution; de reporter, si possible, les opérations qui pourraient être à l’origine d’émissions atmosphériques polluantes inhabituelles; de reporter le démarrage d’unités à l’arrêt à la fin de l’épisode de pollution.
• Aux entreprises et administrations : d'adapter les modalités de travail de leurs agents. Si les moyens le permettent, le recours au télétravail, à l'audio conférence ou à la visioconférence est recommandé.
• Aux agriculteurs : de reporter les opérations qui pourraient être à l'origine d'émissions atmosphériques polluantes.
(1)- femmes enceintes, nourrissons et jeunes enfants, personnes de plus de 65 ans, asthmatiques ou souffrant de pathologies cardiovasculaires, insuffisants cardiaques ou respiratoires) et sensibles (dont les symptômes apparaissent ou sont amplifiés lors des pics à l'exemple des personnes diabétiques, immunodéprimées ou souffrant d’affections neurologiques ou à risque cardiaque, respiratoire, infectieux.