Le corps du jeune homme a été découvert au pied d'une passerelle à proximité de la faculté de lettres (bâtiment A ici sur la photo d'illustration)
Il n'y a plus de suspicion : la mort de Gabriel, 19 ans, sur le campus universitaire de Rouen, à Mont-Saint-Aignan, est bien accidentelle, indique ce mercredi matin le parquet de Rouen. "Nous avons tous les éléments permettant de conclure à un décès accidentel", confirme Jean-Claude Belot, procureur de la République adjoint, à infoNormandie.
L'autopsie programmée pour ce vendredi 31 octobre ne s'impose donc pas. Toutefois, un scanner va être pratiqué ce mercredi afin de de vérifier la nature des fractures diagnostiquées par le médecin légiste au bras gauche et à la tête du jeune homme, en particulier à la mâchoire.
Tombé d'une passerelle
Le corps sans vie de l'étudiant en 1ère année de langues, a été découvert lundi en fin de matinée, au pied d'une passerelle dans l'enceinte du campus universitaire de Mont-Saint-Aignan, près de Rouen. Lire ici le rappel des faits
Le jeune homme originaire de Petitville, un village proche de Notre-Dame-de-Gravenchon, était allongé sur le dos, inconscient, devant le bâtiment A qui abrite la faculté de lettres où il était inscrit. Il avait une plaie saignante au niveau du menton et des blessures à l'avant-bras gauche.
Chute de skateboard
La thèse de l'accident était, à ce stade de l'enquête, privilégiée. L'étudiant avait semble-t-il fait une chute mortelle en pratiquant du skateboard. Il serait tombé de la passerelle en béton qui relie la fac de lettres à un autre bâtiment, d'une hauteur de "plusieurs mètres" avant de se fracasser sur le sol, la tête la première.
Un skateboard a été retrouvé à proximiité du corps, indiquait le procureur de la République de Rouen, Jean-François Bonhaert. La présence de cette planche à roulettes peut être en lien avec le décès du jeune homme, confirmait dès lundi soir le magistrat à infoNormandie.
La piste criminelle écartée
Les traces constatées sur le corps sont compatibles avec une chute accidentelle, selon les observations du médecin légiste.
"Nous recherchons des témoins éventuels, mais en l'état de ce que nous savons il n'y a pas d'éléments qui permettent d'accréditer une thèse criminelle", soulignait encore Jean-François Bonhaert.
Les conclusions du médecin légiste ont donc confirmé que la mort de Gabriel est "purement accidentelle".
L'autopsie programmée pour ce vendredi 31 octobre ne s'impose donc pas. Toutefois, un scanner va être pratiqué ce mercredi afin de de vérifier la nature des fractures diagnostiquées par le médecin légiste au bras gauche et à la tête du jeune homme, en particulier à la mâchoire.
Tombé d'une passerelle
Le corps sans vie de l'étudiant en 1ère année de langues, a été découvert lundi en fin de matinée, au pied d'une passerelle dans l'enceinte du campus universitaire de Mont-Saint-Aignan, près de Rouen. Lire ici le rappel des faits
Le jeune homme originaire de Petitville, un village proche de Notre-Dame-de-Gravenchon, était allongé sur le dos, inconscient, devant le bâtiment A qui abrite la faculté de lettres où il était inscrit. Il avait une plaie saignante au niveau du menton et des blessures à l'avant-bras gauche.
Chute de skateboard
La thèse de l'accident était, à ce stade de l'enquête, privilégiée. L'étudiant avait semble-t-il fait une chute mortelle en pratiquant du skateboard. Il serait tombé de la passerelle en béton qui relie la fac de lettres à un autre bâtiment, d'une hauteur de "plusieurs mètres" avant de se fracasser sur le sol, la tête la première.
Un skateboard a été retrouvé à proximiité du corps, indiquait le procureur de la République de Rouen, Jean-François Bonhaert. La présence de cette planche à roulettes peut être en lien avec le décès du jeune homme, confirmait dès lundi soir le magistrat à infoNormandie.
La piste criminelle écartée
Les traces constatées sur le corps sont compatibles avec une chute accidentelle, selon les observations du médecin légiste.
"Nous recherchons des témoins éventuels, mais en l'état de ce que nous savons il n'y a pas d'éléments qui permettent d'accréditer une thèse criminelle", soulignait encore Jean-François Bonhaert.
Les conclusions du médecin légiste ont donc confirmé que la mort de Gabriel est "purement accidentelle".