Les policiers ont dû employer la force pour venir à bout d'un individu particulièrement excité et dangereux qui a failli mettre le feu aux urgences du Centre hospitalier Jacques Monod à Montivilliers, près du Havre.
(NDLR: il s'agit bien de l'hôpital Monod et non pas de l'hôpital Charles Nicolle de Rouen)
Les faits remontent au jeudi 17 décembre. Vers 22h30, un homme de 31 ans fortement alcoolisé est conduit par les pompiers au service des urgences de Jacques-Monod.
L'homme étant particulièrement agressif, le personnel hospitalier se voit alors contraint de lui sangler les pieds et les poings sur son lit médicalisé. Cependant, profitant d'être seul un instant dans la salle de soins, il parvient à saisir un briquet qu'il a dans une poche et entreprend de mettre le feu aux sangles qui l'entravent pour se libérer.
Dans la manœuvre, il enflamme le drap, la couverture et le matelas du lit. Alerté par l'alarme incendie, le personnel rapplique immédiatement et a tout juste le temps d'éteindre le feu.
Quatre agents hospitaliers (brancardier, infirmière, interne...) sont légèrement intoxiqués par les fumées et doivent être placés sous oxygène. Par précaution, des patients sont par ailleurs évacués.
Avertis, les policiers interviennent. Ils interpellent l'individu qui est ramené à l'hôtel de police où il est placé en garde à vue pour destruction volontaire par incendie. Le montant du préjudice est estimé à plusieurs milliers d'euros par les services de l'hôpital.
Déféré vendredi 18 décembre devant un magistrat du parquet du Havre, le mis en cause a été jugé en comparution immédiate. Il a écopé de 10 mois de prison, dont 5 mois avec sursis. Il a été incarcéré séance tenante au centre pénitentiaire de Saint-Aubin-Routot, près du Havre.
(NDLR: il s'agit bien de l'hôpital Monod et non pas de l'hôpital Charles Nicolle de Rouen)
Les faits remontent au jeudi 17 décembre. Vers 22h30, un homme de 31 ans fortement alcoolisé est conduit par les pompiers au service des urgences de Jacques-Monod.
L'homme étant particulièrement agressif, le personnel hospitalier se voit alors contraint de lui sangler les pieds et les poings sur son lit médicalisé. Cependant, profitant d'être seul un instant dans la salle de soins, il parvient à saisir un briquet qu'il a dans une poche et entreprend de mettre le feu aux sangles qui l'entravent pour se libérer.
Dans la manœuvre, il enflamme le drap, la couverture et le matelas du lit. Alerté par l'alarme incendie, le personnel rapplique immédiatement et a tout juste le temps d'éteindre le feu.
Quatre agents hospitaliers (brancardier, infirmière, interne...) sont légèrement intoxiqués par les fumées et doivent être placés sous oxygène. Par précaution, des patients sont par ailleurs évacués.
Avertis, les policiers interviennent. Ils interpellent l'individu qui est ramené à l'hôtel de police où il est placé en garde à vue pour destruction volontaire par incendie. Le montant du préjudice est estimé à plusieurs milliers d'euros par les services de l'hôpital.
Déféré vendredi 18 décembre devant un magistrat du parquet du Havre, le mis en cause a été jugé en comparution immédiate. Il a écopé de 10 mois de prison, dont 5 mois avec sursis. Il a été incarcéré séance tenante au centre pénitentiaire de Saint-Aubin-Routot, près du Havre.