Le drame s'est noué dans un appartement du rez-de-chaussée de cet immeuble de 4 étages, rue Sainte-Beuve, dans le quartier de Graville (Illustration@Google Maps)
Le jeune homme âgé de 25 ans qui a étranglé sa mère avec un lacet, lundi matin au Havre a été mis en examen pour meurtre sur ascendant. Sa garde à vue a été levée en fin d'après-midi et il a été déféré immédiatement au palais de justice du Havre.
Une information judiciaire ayant été ouverte par le procureur de la République, il devait être présenté à un juge d'instruction dans la soirée. Il appartenait ensuite au juge des libertés et de la détention (JLD) de décider ou non de son placement en détention provisoire.
Converti à l'Islam récemment
Le meurtrier présumé aurait reconnu, lors de son audition, avoir étranglé sa mère lundi matin au domicile familial rue Sainte-Beuve, dans le quartier de Graville, au Havre. Il n'a pas expliqué son geste. Il n'a pas caché aux enquêteurs qu'il s'était converti à l'islam il y a cinq ou six mois via internet et les réseaux sociaux. Aurait-il tué sa mère parce qu'elle s'opposait à son départ en Syrie pour faire le djihad ? Rien ne permet de l'affirmer à ce stade des investigations menées par la brigade criminelle de la sûreté urgaine du Havre.
Le jeune homme n'a pas été très loquace avec les policiers, notamment sur le mobile. Ses déclarations ne sont pas claires, de même que sa revendication, a indiqué à infonormandie le procureur de la République François Gosselin. "C'est un homme assez insaississable, renfermé", confie le magistrat.
Il vivait avec sa mère
Connu des services de police pour des faits de petite délinquance (sa dernière condamnation remonte à 2012), le jeune havrais, né en octobre 1990, vivait chez sa mère âgée de 62 ans dans un appartement au rez-de-chaussée de l'immeuble Alcéane situé 2, rue Sainte-Beuve. Son père habite le même immeuble, dans un autre appartement.
Les faits auraient été commis en fin de nuit, lundi matin. Le jeune homme a lui-même téléphoné à police-secours pour dire qu'il venait d'étrangler sa mère avec un lacet. Il était alors 5h40. A l'arrivée des policiers, le meurtrier présumé s'apprêtait à quitter l'immeuble. Selon nos informations, il s'est laissé interpeller sans opposer la moindre résistance.
Une information judiciaire ayant été ouverte par le procureur de la République, il devait être présenté à un juge d'instruction dans la soirée. Il appartenait ensuite au juge des libertés et de la détention (JLD) de décider ou non de son placement en détention provisoire.
Converti à l'Islam récemment
Le meurtrier présumé aurait reconnu, lors de son audition, avoir étranglé sa mère lundi matin au domicile familial rue Sainte-Beuve, dans le quartier de Graville, au Havre. Il n'a pas expliqué son geste. Il n'a pas caché aux enquêteurs qu'il s'était converti à l'islam il y a cinq ou six mois via internet et les réseaux sociaux. Aurait-il tué sa mère parce qu'elle s'opposait à son départ en Syrie pour faire le djihad ? Rien ne permet de l'affirmer à ce stade des investigations menées par la brigade criminelle de la sûreté urgaine du Havre.
Le jeune homme n'a pas été très loquace avec les policiers, notamment sur le mobile. Ses déclarations ne sont pas claires, de même que sa revendication, a indiqué à infonormandie le procureur de la République François Gosselin. "C'est un homme assez insaississable, renfermé", confie le magistrat.
Il vivait avec sa mère
Connu des services de police pour des faits de petite délinquance (sa dernière condamnation remonte à 2012), le jeune havrais, né en octobre 1990, vivait chez sa mère âgée de 62 ans dans un appartement au rez-de-chaussée de l'immeuble Alcéane situé 2, rue Sainte-Beuve. Son père habite le même immeuble, dans un autre appartement.
Les faits auraient été commis en fin de nuit, lundi matin. Le jeune homme a lui-même téléphoné à police-secours pour dire qu'il venait d'étrangler sa mère avec un lacet. Il était alors 5h40. A l'arrivée des policiers, le meurtrier présumé s'apprêtait à quitter l'immeuble. Selon nos informations, il s'est laissé interpeller sans opposer la moindre résistance.