L'auteur d'un vol et d'une tentative d'escroquerie a été interpellé lundi 15 février, dix mois après les faits pour lesquels il était recherché par la police du Havre.
Le 11 avril 2015, un automobiliste de 22 ans se présente au commissariat de police. Il déclare avoir constaté que son véhicule, un Combi Volkswagen, garé depuis quatre jours boulevard Clemenceau, est squatté par un inconnu qui a déposé ses affaires dans l'habitacle.
Véhicule à vendre
Il a découvert aussi que le démarreur a été fracturé et qu'un panneau indique que le véhicule est "à vendre" (un numéro de téléphone est même fourni !) est apposé au niveau du pare brise.
La brigade de roulage de la sûreté urbaine du Havre se saisit de l'enquête. Les policiers tentent de prendre contact avec le pseudo vendeur à partir du numéro de téléphone indiqué. En vain. Les recherches ne permettent pas de localiser ni de retrouver l'auteur de ces faits qui sont alors imputés à un sans domicile fixe.
"Pas bien mentalement"
Parvenant finalement à savoir où l'individu logerait au Havre, les enquêteurs lui laissent plusieurs convocations, mais l'homme ne se présente pas au commissariat. Les policiers, munis d'un ordre de comparution délivré par un magistrat du parquet, l'interpellent donc lundi 15 février à 16 heures rue de Trigauville.
Placé en garde à vue, ce Havrais âgé de 45 ans, connu défavorablement des services de police, reconnait les faits et explique, pour les justifier, qu'il n'était "pas bien mentalement" à cette époque.
Il a été remis en liberté. Il s'est vu notifier une CRPC (comparution sur reconnaissance de culpabilité) pour le 5 juillet prochain.
Le 11 avril 2015, un automobiliste de 22 ans se présente au commissariat de police. Il déclare avoir constaté que son véhicule, un Combi Volkswagen, garé depuis quatre jours boulevard Clemenceau, est squatté par un inconnu qui a déposé ses affaires dans l'habitacle.
Véhicule à vendre
Il a découvert aussi que le démarreur a été fracturé et qu'un panneau indique que le véhicule est "à vendre" (un numéro de téléphone est même fourni !) est apposé au niveau du pare brise.
La brigade de roulage de la sûreté urbaine du Havre se saisit de l'enquête. Les policiers tentent de prendre contact avec le pseudo vendeur à partir du numéro de téléphone indiqué. En vain. Les recherches ne permettent pas de localiser ni de retrouver l'auteur de ces faits qui sont alors imputés à un sans domicile fixe.
"Pas bien mentalement"
Parvenant finalement à savoir où l'individu logerait au Havre, les enquêteurs lui laissent plusieurs convocations, mais l'homme ne se présente pas au commissariat. Les policiers, munis d'un ordre de comparution délivré par un magistrat du parquet, l'interpellent donc lundi 15 février à 16 heures rue de Trigauville.
Placé en garde à vue, ce Havrais âgé de 45 ans, connu défavorablement des services de police, reconnait les faits et explique, pour les justifier, qu'il n'était "pas bien mentalement" à cette époque.
Il a été remis en liberté. Il s'est vu notifier une CRPC (comparution sur reconnaissance de culpabilité) pour le 5 juillet prochain.