Un Havrais de 47 ans se souviendra longtemps de cet après-midi passé à boire en compagnie de deux connaissances. L'alcool coule à flots dans l'appartement du quadragénaire qui demeure rue Bourdaloue, au Havre. Victime d'un "coup de pompe" en plein après-midi, ce dernier décidé d'aller s'allonger histoire de récupérer un peu, laissant ses deux amis seuls dans la salle à manger. Mais, importuné par les éclats de voix de ses invités, le Havrais leur demande de partir. Alors qu'il vient d'ouvrir la porte, il est poussé dans l'escalier par l'un des hommes alcoolisés.
Remonté dans son appartement, l'un des invités (est-ce celui qui l'a poussé ?) s'en prend au quadragénaire avec une rare violence. La victime, plaquée au sol, est rouée de coups de poing et de pied. Elle est transportée à l'hôpital Jacques-Monod. Le médecin diagnostique une fracture d'un bras et lui délivre 30 jours d'interruption temporaire de travail (ITT).
Auditionné sur son lit d'hôpital par les policiers de la brigade des affaires générales, la victime fournit le nom de son agresseur. Il s'agit d'un havrais âgé de 40 ans. Il identifie sur une planche photo le second homme, un havrais également de 39 ans. Interpellé, ce dernier est finalement mis hors de cause par l'auteur des coups qui fournit le nom de celui qui l'accompagnait cet après-midi là.
Placés en garde à vue, les deux suspects ont reconnu partiellement les faits, mais ont nié avoir poussé leur hôte dans l'escalier. Tous deux sont convoqués devant le tribunal correctionnel du Havre pour le 29 février prochain, poursuivis pour violences volontaires en réunion sur personne vulnérable (la victime est jugée affaiblie par une maladie) ayant entraîné une ITT de plus de 8 jours.
Remonté dans son appartement, l'un des invités (est-ce celui qui l'a poussé ?) s'en prend au quadragénaire avec une rare violence. La victime, plaquée au sol, est rouée de coups de poing et de pied. Elle est transportée à l'hôpital Jacques-Monod. Le médecin diagnostique une fracture d'un bras et lui délivre 30 jours d'interruption temporaire de travail (ITT).
Auditionné sur son lit d'hôpital par les policiers de la brigade des affaires générales, la victime fournit le nom de son agresseur. Il s'agit d'un havrais âgé de 40 ans. Il identifie sur une planche photo le second homme, un havrais également de 39 ans. Interpellé, ce dernier est finalement mis hors de cause par l'auteur des coups qui fournit le nom de celui qui l'accompagnait cet après-midi là.
Placés en garde à vue, les deux suspects ont reconnu partiellement les faits, mais ont nié avoir poussé leur hôte dans l'escalier. Tous deux sont convoqués devant le tribunal correctionnel du Havre pour le 29 février prochain, poursuivis pour violences volontaires en réunion sur personne vulnérable (la victime est jugée affaiblie par une maladie) ayant entraîné une ITT de plus de 8 jours.