Illustration
Une forte odeur de résine de cannabis s’échappait de la voiture. De quoi mettre la puce à l’oreille des policiers.
Samedi 23 mai. Il est 4 heures du matin, allée du Bous-au-Coq au Havre (Seine-Maritime). Un équipage de la brigade anticriminalité (BAC) repère une voiture qui roule à vive allure et la prend en charge. Le chauffard est intercepté plus loin, rue Marceau.
Samedi 23 mai. Il est 4 heures du matin, allée du Bous-au-Coq au Havre (Seine-Maritime). Un équipage de la brigade anticriminalité (BAC) repère une voiture qui roule à vive allure et la prend en charge. Le chauffard est intercepté plus loin, rue Marceau.
Forte odeur de cannabis
Vérifications habituelles : permis de conduire, carte grise et attestation d’assurance. Tout semble en règle, à ce détail près que les policiers détectent une forte odeur de résine de cannabis provenant de l’habitacle.
L’œil averti, ils remarquent alors, plus ou moins bien dissimulées sur le tableau de bord, deux plaquettes d’un produit ressemblant à des stupéfiants. De fait, la fouille du véhicule permet de confirmer qu’il s’agit bien de 198 grammes de résine de cannabis.
L’œil averti, ils remarquent alors, plus ou moins bien dissimulées sur le tableau de bord, deux plaquettes d’un produit ressemblant à des stupéfiants. De fait, la fouille du véhicule permet de confirmer qu’il s’agit bien de 198 grammes de résine de cannabis.
Il reconnaît se livrer au trafic de stupéfiants
La marchandise est saisie et le conducteur est emmené au commissariat central pour être entendu. Il est placé en garde à vue après la découverte sur lui de 200€ en petites coupures.
Soupçonné de se livrer à un trafic, le jeune havrais de 20 ans finit par reconnaître, lors de son audition, avoir vendu 1,200 kg de résine depuis le début de l’année, ce qui lui aurait rapporté 2000€.
Remis en liberté, il s’est vu notifier une convocation en vue d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) dans les prochains mois.
Soupçonné de se livrer à un trafic, le jeune havrais de 20 ans finit par reconnaître, lors de son audition, avoir vendu 1,200 kg de résine depuis le début de l’année, ce qui lui aurait rapporté 2000€.
Remis en liberté, il s’est vu notifier une convocation en vue d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) dans les prochains mois.