Les policiers ont dû appelés des renforts lors de l'interpellation du quadragénaire - Illustration
Dans la nuit de dimanche à lundi, les policiers ont dû recourir à la force pour maîtriser un homme de 45 ans, en état d'ébriété et particulièrement violent, à son domicile au Houlme (Seine-Maritime).
L’intervention a débuté aux alentours de minuit, à la suite d’un appel signalant un différend entre voisins dans un immeuble. Arrivées sur place, les forces de l’ordre se rendent au troisième étage de l'immeuble où un locataire est désigné comme l’auteur des troubles. À leur arrivée, les policiers font face à un homme de forte corpulence, visiblement alcoolisé et excité, relate une source proche de l'enquête.
L’intervention a débuté aux alentours de minuit, à la suite d’un appel signalant un différend entre voisins dans un immeuble. Arrivées sur place, les forces de l’ordre se rendent au troisième étage de l'immeuble où un locataire est désigné comme l’auteur des troubles. À leur arrivée, les policiers font face à un homme de forte corpulence, visiblement alcoolisé et excité, relate une source proche de l'enquête.
« En découdre avec des voisins »
Leur attention est rapidement attirée par une femme en pleurs, réfugiée dans la cuisine. Ils remarquent également un couteau posé au sol. Interrogée, la femme explique que son mari, armé de quatre couteaux, voulait en découdre avec des voisins jugés trop bruyants. En tentant de l’en empêcher, elle aurait reçu un coup de poing au visage.
Lorsque les policiers décident d’interpeller l’individu, ce dernier se rebelle violemment, refusant de coopérer. Il bouscule un policier, le faisant chuter, et mord une policière. Face à son agressivité, les agents parviennent à le plaquer au sol pour le maîtriser et lui passer les menottes.
Lorsque les policiers décident d’interpeller l’individu, ce dernier se rebelle violemment, refusant de coopérer. Il bouscule un policier, le faisant chuter, et mord une policière. Face à son agressivité, les agents parviennent à le plaquer au sol pour le maîtriser et lui passer les menottes.
Des renforts sont appelés
Cependant, l’homme continue de résister avec acharnement, refusant de monter dans le véhicule de police. Il faudra l’intervention de la brigade cynophile, appelée en renfort, pour venir à bout de son hostilité et permettre son transfert.
Le mis en cause a été placé en dégrisement puis en garde à vue afin d'être entendu sur les faits.
Le mis en cause a été placé en dégrisement puis en garde à vue afin d'être entendu sur les faits.