Le Printemps est situé rue Eugène Colas, en centre-ville de Deauville (Google Maps)
Trois individus encagoulés, gantés et armés de bombes lacrymogènes et d'armes de poing ont braqué ce mardi 16 juillet peu après 12 h le magasin Printemps, situé en plein centre ville de Deauville (Calvados).
Clients et salariés très choqués
Les individus ont brisé, selon nos informations, à l'aide de pieds de biche, de masse ou de marteaux, les vitrines d'une dizaine de présentoirs où étaient entreposés des bijoux (montres, colliers, bagues...). Le montant du préjudice, qui serait très important, est en cours d'évaluation.
Les individus ont pris la fuite à bord d'un véhicule au volant duquel les attendait un complice à proximité du magasin.
Il n'y a pas eu de blessés, mais les salariés et les clients, soit soixante-dix personnes au total, présents à ce moment-là dans le magasin très fréquenté en raison de la période estivale, ont été choqués. Certains ont dû être hospitalisés à Lisieux et à Deauville.
Le plan de recherches déclenché immédiatement dans le Calvados, l'Eure et la Seine-Maritime n'a pas permis de retrouver les malfaiteurs.
La voiture retrouvée calcinée au Havre
En revanche, la voiture qui leur a servi - et qui a été identifiée sur les lieux du braquage par un témoin - a été retrouvée incendiée en tout début d'après-midi dans le quartier de Bléville au Havre. Il s'agirait d'une Renault Mégane (une autre source évoque une Clio) qui était faussement immatriculée.
Une cellule psychologique a été mise en place.
Le Service régional de police judiciaire (SRPJ) de Normandie a été saisi de l'enquête par le procureur de la République de Lisieux, Bruno Dieudonné, lequel confirme les faits. L'identité judiciaire est actuellement sur place pour procéder aux relevés d'indices et de traces utiles aux investigations.
Clients et salariés très choqués
Les individus ont brisé, selon nos informations, à l'aide de pieds de biche, de masse ou de marteaux, les vitrines d'une dizaine de présentoirs où étaient entreposés des bijoux (montres, colliers, bagues...). Le montant du préjudice, qui serait très important, est en cours d'évaluation.
Les individus ont pris la fuite à bord d'un véhicule au volant duquel les attendait un complice à proximité du magasin.
Il n'y a pas eu de blessés, mais les salariés et les clients, soit soixante-dix personnes au total, présents à ce moment-là dans le magasin très fréquenté en raison de la période estivale, ont été choqués. Certains ont dû être hospitalisés à Lisieux et à Deauville.
Le plan de recherches déclenché immédiatement dans le Calvados, l'Eure et la Seine-Maritime n'a pas permis de retrouver les malfaiteurs.
La voiture retrouvée calcinée au Havre
En revanche, la voiture qui leur a servi - et qui a été identifiée sur les lieux du braquage par un témoin - a été retrouvée incendiée en tout début d'après-midi dans le quartier de Bléville au Havre. Il s'agirait d'une Renault Mégane (une autre source évoque une Clio) qui était faussement immatriculée.
Une cellule psychologique a été mise en place.
Le Service régional de police judiciaire (SRPJ) de Normandie a été saisi de l'enquête par le procureur de la République de Lisieux, Bruno Dieudonné, lequel confirme les faits. L'identité judiciaire est actuellement sur place pour procéder aux relevés d'indices et de traces utiles aux investigations.
En mars dernier, c'était la boutique Louis Vuitton
Le 28 mars dernier, le magasin Louis Vuitton de Deauville avait été lui aussi la cible d'une équipe de malfaiteurs à l'heure du déjeuner.
Quatre individus encagoulés et armés avaient fait irruption dans la boutique de luxe en défonçant la porte d'entrée. Tenant en respect avec leurs armes les trois employés et un vigile, les braqueurs avaient raflé sacs en cuir et autres produits de maroquinerie de valeur.
Lire ici le rappel des faits.
Quatre individus encagoulés et armés avaient fait irruption dans la boutique de luxe en défonçant la porte d'entrée. Tenant en respect avec leurs armes les trois employés et un vigile, les braqueurs avaient raflé sacs en cuir et autres produits de maroquinerie de valeur.
Lire ici le rappel des faits.