Mercredi 29 mars 2017, vers 19h30, un individu casqué pénètre dans un bar-tabac d’Yvetot (Seine-Maritime). Il fait usage d'une bombe lacrymogène envers le propriétaire de l’établissement et des quelques clients présents. Il se rend au niveau du tiroir- caisse, s'empare de 500 € environ puis prend la fuite. Le malfaiteur est poursuivi par des témoins qui le voient partir sur un scooter dont ils relèvent l’immatriculation.
> Lire aussi : Yvetot : armé d'une bombe lacrymogène, l'agresseur du buraliste dérobe la caisse
Les gendarmes sont rapidement sur les lieux avec le commandant de compagnie. Le propriétaire du deux-roues est identifié, une surveillance discrète de son domicile est mise en place. Les enquêteurs exploitent la vidéosurveillance du commerce ce qui permet d’obtenir un signalement précis de l’auteur des faits.
Le lendemain, jeudi 30 mars, le suspect est interpellé et la perquisition à son domicile permet de retrouver les vêtements portés, la bombe lacrymogène ainsi que le scooter ayant servi à commettre les faits. Le mis en cause, âgé de 22 ans et demeurant à Hautot-le-Vatois est placé en garde à vue. Il est présenté devant le magistrat du parquet puis jugé en comparution immédiate.
Il est condamné à 15 mois de prison dont 12 avec sursis et mise à l'épreuve pendant deux ans. Il est écroué à la maison d’arrêt de Rouen.
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Les gendarmes sont rapidement sur les lieux avec le commandant de compagnie. Le propriétaire du deux-roues est identifié, une surveillance discrète de son domicile est mise en place. Les enquêteurs exploitent la vidéosurveillance du commerce ce qui permet d’obtenir un signalement précis de l’auteur des faits.
Le lendemain, jeudi 30 mars, le suspect est interpellé et la perquisition à son domicile permet de retrouver les vêtements portés, la bombe lacrymogène ainsi que le scooter ayant servi à commettre les faits. Le mis en cause, âgé de 22 ans et demeurant à Hautot-le-Vatois est placé en garde à vue. Il est présenté devant le magistrat du parquet puis jugé en comparution immédiate.
Il est condamné à 15 mois de prison dont 12 avec sursis et mise à l'épreuve pendant deux ans. Il est écroué à la maison d’arrêt de Rouen.