Le cambrioleur des personnes âgées s'intéressait surtout à l'argent que contenait leur sac à main (Photo d'illustration)
SEINE-MARITIME - Il est toxicomane et pour acheter sa drogue il a besoin d'argent, beaucoup d'argent. Alors pour s'en procurer facilement, le quadragénaire n'hésite pas à se livrer à des actes répréhensibles. Il en a reconnu une dizaine lors de sa garde à vue il y a quelques jours à l'hôtel de police de Rouen.
Ce cambrioleur peu ordinaire en ce sens qu'il pénètre dans les habitations sans effraction a été confondu grâce à l'enregistrement d'une vidéo surveillance chez l'une de ses victimes. C'était le 1er février dernier à Saint-Etienne-du-Rouvray. L'individu s'introduit dans le pavillon d'une vieille dame de 87 ans en passant par la fenêtre de la véranda qui n'est pas verrouillée. Il va directement dans la cuisine et s'empare du sac à main posé sur un meuble.
Il est identifié grâce à la vidéosurveillance
Le voleur ne sait pas alors qu'il est filmé par la caméra de protection de la maison. En examinant le film de plus près, les policiers parviennent à mettre un nom sur le visage de cet homme qui est fiché et archi-connu par leurs services. Son arrestation n'est donc qu'une question de temps.
C'est ainsi que le 23 février, le suspect est une nouvelle fois identifié sur un enregistrement d'une vidéosurveillance installée sur la voie publique. On le voit monter dans une voiture arrêtée tandis que son conducteur est parti acheter du pain. Ce dernier n'a pas fermé la porte à clé, ce qui permet à l'ndividu de dérober une pochette qui se trouve sur le siège.
Des victimes âgées entre 87 et 91 ans
Cette fois, les enquêteurs du groupe d'appui judiciaire de Saint-Etienne-du-Rouvray décident de convoquer le voleur qui est d'emblée placé en garde à vue. La machance s'acharnera sur lui : alors qu'il est auditionné par les policiers, trois victimes de cambriolages se présentent au commissariat. Ils expliquent que la veille leur habitation a été visitée sans qu'aucune trace d'effraction n'ait été constatée. Le préjudice : sacs à main, porte monnaie, téléphones portables, chèques restaurant...
Mais le mode opératoire décrit par ces victimes intrigue les enquêteurs. Interrogé également sur ces faits, le gardé à vue finit par reconnaître que c'est lui l'auteur. Il finit par avouer avoir commis de cette manière dix vols, dont une tentative et un vol à la roulotte avec dégradation, entre janvier et mars dernier. Parmi les victimes, surtout des femmes âgées de 92, 90, 87 et 77 ans.
Le mis en cause devait être jugé ce vendredi après-midi devant le tribunal correctionnel de Rouen dans le cadre d'une procédure de comparution immédiate.
Ce cambrioleur peu ordinaire en ce sens qu'il pénètre dans les habitations sans effraction a été confondu grâce à l'enregistrement d'une vidéo surveillance chez l'une de ses victimes. C'était le 1er février dernier à Saint-Etienne-du-Rouvray. L'individu s'introduit dans le pavillon d'une vieille dame de 87 ans en passant par la fenêtre de la véranda qui n'est pas verrouillée. Il va directement dans la cuisine et s'empare du sac à main posé sur un meuble.
Il est identifié grâce à la vidéosurveillance
Le voleur ne sait pas alors qu'il est filmé par la caméra de protection de la maison. En examinant le film de plus près, les policiers parviennent à mettre un nom sur le visage de cet homme qui est fiché et archi-connu par leurs services. Son arrestation n'est donc qu'une question de temps.
C'est ainsi que le 23 février, le suspect est une nouvelle fois identifié sur un enregistrement d'une vidéosurveillance installée sur la voie publique. On le voit monter dans une voiture arrêtée tandis que son conducteur est parti acheter du pain. Ce dernier n'a pas fermé la porte à clé, ce qui permet à l'ndividu de dérober une pochette qui se trouve sur le siège.
Des victimes âgées entre 87 et 91 ans
Cette fois, les enquêteurs du groupe d'appui judiciaire de Saint-Etienne-du-Rouvray décident de convoquer le voleur qui est d'emblée placé en garde à vue. La machance s'acharnera sur lui : alors qu'il est auditionné par les policiers, trois victimes de cambriolages se présentent au commissariat. Ils expliquent que la veille leur habitation a été visitée sans qu'aucune trace d'effraction n'ait été constatée. Le préjudice : sacs à main, porte monnaie, téléphones portables, chèques restaurant...
Mais le mode opératoire décrit par ces victimes intrigue les enquêteurs. Interrogé également sur ces faits, le gardé à vue finit par reconnaître que c'est lui l'auteur. Il finit par avouer avoir commis de cette manière dix vols, dont une tentative et un vol à la roulotte avec dégradation, entre janvier et mars dernier. Parmi les victimes, surtout des femmes âgées de 92, 90, 87 et 77 ans.
Le mis en cause devait être jugé ce vendredi après-midi devant le tribunal correctionnel de Rouen dans le cadre d'une procédure de comparution immédiate.