Le cargo britannique de 288 m de long qui s'était échoué peu après midi sur les bords de la Seine, dans le secteur de Quillebeuf-sur-Seine, entre Le Havre et Rouen, a été sorti d'affaire cette nuit. Le Citius a été remorqué et convoyé vers le port Radicatel, où il est désormais amarré et sécurisé.
L'opération a duré une partie de la nuit, avec des moyens déployés par la préfecture maritime. En particulier le remorqueur d'intervention, d'assistance et de sauvetage Abeille Liberté, basé dans le port militaire de Cherbourg.
« Bien que l’événement ne soit pas survenu dans leur zone de responsabilités », les autorités maritimes ont proposé en effet immédiatement son concours à la préfecture de Seine-Maritime, en charge des opérations de déséchouement avec les autorités portuaires du Havre et de Rouen.
Outre l'intervention de l'Abeille Liberté, le Centre des opérations maritimes a mobilisé les spécialistes et techniciens composant l’équipe d’évaluation et d’intervention de la préfecture maritime et la cellule antipollution de la base navale de Cherbourg, afin que ceux-ci apportent leur expertise et se tiennent prêts à être déployés au cas où leur concours serait nécessaire. De même, le centre d’expertises pratiques de lutte antipollution (CEPPOL), de la Marine nationale a été associé aux travaux et échanges menés avec la préfecture de Seine-Maritime.
En début de soirée, l’Abeille Liberté est arrivé auprès du Citius, déjà mis en sécurité par des remorqueurs du Havre et de Rouen. L’effet conjugué de la marée montante et d’un fort courant a contraint cependant le remorqueur à se mettre en attente jusqu’à ce que les conditions météo lui permettent de passer la remorque.
Vers minuit, l’Abeille Liberté a pu effectuer ses manœuvres de remorquage et convoyer le cargo en difficulté vers le port de Radicâtel, où il a été amarré et sécurisé à quai vers 2h30.
« Durant toute l’opération, le dialogue entre la préfecture de Seine-Maritime et la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord, et leurs services, aura été permanent. Cette coopération aura permis d’apporter une expertise complémentaire et une réactivité conjuguée pour gérer une situation de nature exceptionnelle, offrant ainsi toutes les conditions pour aboutir une résolution positive de l’événement », se félicite, ce matin, la préfecture maritime.
L'opération a duré une partie de la nuit, avec des moyens déployés par la préfecture maritime. En particulier le remorqueur d'intervention, d'assistance et de sauvetage Abeille Liberté, basé dans le port militaire de Cherbourg.
« Bien que l’événement ne soit pas survenu dans leur zone de responsabilités », les autorités maritimes ont proposé en effet immédiatement son concours à la préfecture de Seine-Maritime, en charge des opérations de déséchouement avec les autorités portuaires du Havre et de Rouen.
Outre l'intervention de l'Abeille Liberté, le Centre des opérations maritimes a mobilisé les spécialistes et techniciens composant l’équipe d’évaluation et d’intervention de la préfecture maritime et la cellule antipollution de la base navale de Cherbourg, afin que ceux-ci apportent leur expertise et se tiennent prêts à être déployés au cas où leur concours serait nécessaire. De même, le centre d’expertises pratiques de lutte antipollution (CEPPOL), de la Marine nationale a été associé aux travaux et échanges menés avec la préfecture de Seine-Maritime.
En début de soirée, l’Abeille Liberté est arrivé auprès du Citius, déjà mis en sécurité par des remorqueurs du Havre et de Rouen. L’effet conjugué de la marée montante et d’un fort courant a contraint cependant le remorqueur à se mettre en attente jusqu’à ce que les conditions météo lui permettent de passer la remorque.
Vers minuit, l’Abeille Liberté a pu effectuer ses manœuvres de remorquage et convoyer le cargo en difficulté vers le port de Radicâtel, où il a été amarré et sécurisé à quai vers 2h30.
« Durant toute l’opération, le dialogue entre la préfecture de Seine-Maritime et la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord, et leurs services, aura été permanent. Cette coopération aura permis d’apporter une expertise complémentaire et une réactivité conjuguée pour gérer une situation de nature exceptionnelle, offrant ainsi toutes les conditions pour aboutir une résolution positive de l’événement », se félicite, ce matin, la préfecture maritime.