L'immeuble de la résidence des Tilleuls où a eu lieu le crime jeudi matin
SAINT-PIERRE-LES-ELBEUF (Seine-Maritime) - Un homme de 32 ans a été placé en garde à vue jeudi 17 octobre vers 18 heures dans le cadre de l'enquête sur le meurtre de la mère de famille de Saint-Pierre-lès-Elbeuf. Il s'agit de l'actuel compagnon de cette femme qui était âgée de 38 ans et dont le corps sans vie a été découvert hier par sa fille âgée de 13 ans.
Lire ici le rappel des faits
Le suspect a été interpellé à son domicile à Orival, par la brigade canine. Il a été immédiatement placé en garde à vue à l'hôtel de police de Rouen où il est depuis entendu par les enquêteurs de la brigade criminelle de la Sûreté départementale.
Une scène horrible
Le corps de sa compagne a été découvert jeudi vers 13 heures par la fille de la victime qui rentrait du collège. Une scène horrible : la mère de famille baignait dans son sang, un couteau planté dans le dos. Le premier examen médico-légal a permis d'établir que la victime s'était défendue avant de mourir. Ses mains et ses avant-bras portaient de profondes plaies provoquées par une arme blanche.
Aucune trace d'effraction n'a été relevée sur la porte d'entrée de l'appartement situé au 3e étage du bâtiment C, dans la résidence des Tilleuls au 306 rue de la Chesnaie. Un élément qui a permis aux enquêteurs de supposer que la victime avait ouvert la porte à son meurtrier qu'elle connaissait sans aucun doute.
Elle avait retrouvé un nouveau compagnon
Dès lors, plusieurs hypothèses ont été envisagées en particulier celle du crime passionnel ou d'un différend qui a mal tourné. Les policiers de la brigade criminelle ont fouillé le passé récent de cette femme qui était séparée depuis quelques années et élevait seule ses deux filles âgées de 13 et 16 ans. Selon une de ses voisines, elle avait semble-t-il retrouvé un nouveau compagnon. Est-ce cet homme qui est actuellement interrogé par les policiers en qualité de témoin numéro 1 ?
Le témoignage des deux filles de la victime devrait permettre d'éclairer les enquêteurs.
Une autopsie sera pratiquée dans les prochaines heures à l'institut médico-légal de Rouen. Elle devrait permettre de déterminer le nombre de coups de couteau qui ont été portés et l'heure approximative à laquelle remonte la mort.
Lire ici le rappel des faits
Le suspect a été interpellé à son domicile à Orival, par la brigade canine. Il a été immédiatement placé en garde à vue à l'hôtel de police de Rouen où il est depuis entendu par les enquêteurs de la brigade criminelle de la Sûreté départementale.
Une scène horrible
Le corps de sa compagne a été découvert jeudi vers 13 heures par la fille de la victime qui rentrait du collège. Une scène horrible : la mère de famille baignait dans son sang, un couteau planté dans le dos. Le premier examen médico-légal a permis d'établir que la victime s'était défendue avant de mourir. Ses mains et ses avant-bras portaient de profondes plaies provoquées par une arme blanche.
Aucune trace d'effraction n'a été relevée sur la porte d'entrée de l'appartement situé au 3e étage du bâtiment C, dans la résidence des Tilleuls au 306 rue de la Chesnaie. Un élément qui a permis aux enquêteurs de supposer que la victime avait ouvert la porte à son meurtrier qu'elle connaissait sans aucun doute.
Elle avait retrouvé un nouveau compagnon
Dès lors, plusieurs hypothèses ont été envisagées en particulier celle du crime passionnel ou d'un différend qui a mal tourné. Les policiers de la brigade criminelle ont fouillé le passé récent de cette femme qui était séparée depuis quelques années et élevait seule ses deux filles âgées de 13 et 16 ans. Selon une de ses voisines, elle avait semble-t-il retrouvé un nouveau compagnon. Est-ce cet homme qui est actuellement interrogé par les policiers en qualité de témoin numéro 1 ?
Le témoignage des deux filles de la victime devrait permettre d'éclairer les enquêteurs.
Une autopsie sera pratiquée dans les prochaines heures à l'institut médico-légal de Rouen. Elle devrait permettre de déterminer le nombre de coups de couteau qui ont été portés et l'heure approximative à laquelle remonte la mort.