Après avoir farouchement refusé de souffler dans l'éthylotest et éthylomètre des policiers, le conducteur rebelle a accepté un dépistage par prélèvement sanguin (Photo d'illustration)
C'est ce qu'on pourrait appeler un mauvais coucheur ! Un automobiliste de 62 ans a fait sa mauvaise tête devant les policiers qui venaient de l'intercepter au volant de sa voiture, lundi soir à Rouen.
Il est 23 heures. Un équipage de police-secours est en patrouille rue Guillaume-le-Conquérant. Sur leur chemin, il remarque qu'un automobiliste fait des manoeuvres hasardeuses pour essayer de se garer. La décision est alors prise de le contrôler.
Il refuse de souffler dans l'éthylotest
Invité à présenter ses papiers, l'homme, originaire de la région de Pavilly, ne semble pas au mieux de sa forme. Il présente toutes les caractéristiques de l'ivresse : élocution difficile, oeil brillant, haleine chargée... des signes qui ne trompent pas les policiers qui lui demandent de souffler dans l'éthylotest. Le sexagénaire refuse catégoriquement, de même qu'il refuse de présenter son permis de conduire. Il est interpellé et ramené à l'hôtel de police.
Les policiers réitèrent à plusieurs reprises leur demande pour un contrôle d'alcoolémie. Toujours le même refus. Se ravisant sans doute, entre deux instants de lucidité, l'automobiliste finit par accepter d'être conduit au CHU pour un prélèvement sanguin.
A l'hôpital, il insulte les policiers
Après s'être soumis à une prise de sang, l'homme s'en est pris aux policiers qui l'accompagnaient. Il les a ainsi copieusement insultés, devant le personnel hospitalier. Il a ensuite refusé de quitter le centre hospitalier.
Force est restée à la loi : le conducteur rebelle a terminé la nuit dans une cellule de dégrisement, rue Brisout de Barneville. Il devait être auditionné ce mardi matin par la brigade des accidents et délits routiers (Badr) dans le cadre d'une garde à vue pour, entre autres infractions délictuelles, conduite sous l'emprise d'un état alcoolique et rebellion.
Le refus de se soumettre à un dépistage d'alcoolémie ou de stupéfiants est réprimé par une peine maximale de deux ans d'emprisonnement, 4 500€ d'amende et une suspension de permis.
Il est 23 heures. Un équipage de police-secours est en patrouille rue Guillaume-le-Conquérant. Sur leur chemin, il remarque qu'un automobiliste fait des manoeuvres hasardeuses pour essayer de se garer. La décision est alors prise de le contrôler.
Il refuse de souffler dans l'éthylotest
Invité à présenter ses papiers, l'homme, originaire de la région de Pavilly, ne semble pas au mieux de sa forme. Il présente toutes les caractéristiques de l'ivresse : élocution difficile, oeil brillant, haleine chargée... des signes qui ne trompent pas les policiers qui lui demandent de souffler dans l'éthylotest. Le sexagénaire refuse catégoriquement, de même qu'il refuse de présenter son permis de conduire. Il est interpellé et ramené à l'hôtel de police.
Les policiers réitèrent à plusieurs reprises leur demande pour un contrôle d'alcoolémie. Toujours le même refus. Se ravisant sans doute, entre deux instants de lucidité, l'automobiliste finit par accepter d'être conduit au CHU pour un prélèvement sanguin.
A l'hôpital, il insulte les policiers
Après s'être soumis à une prise de sang, l'homme s'en est pris aux policiers qui l'accompagnaient. Il les a ainsi copieusement insultés, devant le personnel hospitalier. Il a ensuite refusé de quitter le centre hospitalier.
Force est restée à la loi : le conducteur rebelle a terminé la nuit dans une cellule de dégrisement, rue Brisout de Barneville. Il devait être auditionné ce mardi matin par la brigade des accidents et délits routiers (Badr) dans le cadre d'une garde à vue pour, entre autres infractions délictuelles, conduite sous l'emprise d'un état alcoolique et rebellion.
Le refus de se soumettre à un dépistage d'alcoolémie ou de stupéfiants est réprimé par une peine maximale de deux ans d'emprisonnement, 4 500€ d'amende et une suspension de permis.