La Peugeot a été localisée en fin de matinée en Seine. A l'intérieur, il y avait le corps de Joël Thomas, signalé disparu par son épouse dans l'après-midi de mardi 19 mars (Photo FV/Infonormandie)
Les plongeurs de la gendarmerie fluviale de Grand-Quevilly ont localisé ce lundi 25 mars le véhicule signalé tombé en Seine mardi dernier en début de matinée, au niveau du pont Corneille, à Rouen. Il s'agit d'une Peugeot 308 de couleur grise. Elle a été remontée à la surface à l'aide d'une grue.
A l'intérieur, à la place du conducteur, les gendarmes ont découvert le corps sans vie d'un homme. Les vérifications ont permis d'établir qu'il s'agit de Joël Thomas, âgé de 70 ans et originaire de Grand-Couronne.
Sa disparition inquiétante avait été signalée par son épouse dans l'après-midi de mardi 19 mars, auprès des services de police.
L'enquête va devoir maintenant établir s'il s'agit d'une chute accidentelle ou d'un suicide, ce qui semble l'hypothèse la plus vraisemblable selon les éléments recueillis par les policiers.
Des recherches infructueuses
Dès l'alerte donnée, mardi matin, des recherches avaient été entreprises dans le fleuve par les plongeurs des sapeurs-pompiers et ceux de la brigade fluviale de la gendarmerie de Grand-Quevilly, mais ils n'avaient pas permis de retrouver la voiture.
Le témoin avait donné très peu d'indications sur cette voiture qui avait chuté au niveau du pont Corneille, face au Conseil général sur la rive gauche.
Les recherches avaient été levées le soir même, en raison d'un courant trop fort. La brigade fluviale attendait de disposer d'un appareil spécial (Sonar) pour les reprendre et tenter de localiser le véhicule. Ce qui a été fait ce lundi matin.
A l'intérieur, à la place du conducteur, les gendarmes ont découvert le corps sans vie d'un homme. Les vérifications ont permis d'établir qu'il s'agit de Joël Thomas, âgé de 70 ans et originaire de Grand-Couronne.
Sa disparition inquiétante avait été signalée par son épouse dans l'après-midi de mardi 19 mars, auprès des services de police.
L'enquête va devoir maintenant établir s'il s'agit d'une chute accidentelle ou d'un suicide, ce qui semble l'hypothèse la plus vraisemblable selon les éléments recueillis par les policiers.
Des recherches infructueuses
Dès l'alerte donnée, mardi matin, des recherches avaient été entreprises dans le fleuve par les plongeurs des sapeurs-pompiers et ceux de la brigade fluviale de la gendarmerie de Grand-Quevilly, mais ils n'avaient pas permis de retrouver la voiture.
Le témoin avait donné très peu d'indications sur cette voiture qui avait chuté au niveau du pont Corneille, face au Conseil général sur la rive gauche.
Les recherches avaient été levées le soir même, en raison d'un courant trop fort. La brigade fluviale attendait de disposer d'un appareil spécial (Sonar) pour les reprendre et tenter de localiser le véhicule. Ce qui a été fait ce lundi matin.