Lors de sa garde à vue, le jeune homme a reconnu une partie des faits mais a nié avoir parlé des frères Kouachi
Un habitant d'Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis, a été placé en garde à vue samedi à Rouen pour "apologie d'actes de terrorisme".
Il est environ 17 heures. Police-secours reçoit un appel d'un homme qui dit avoir été témoin, alors qu'il marchait rue du Grand Pont à Rouen, de propos "racistes et anti-français" d'un passant faisant "l'apologie des frères Kouachi", les auteurs de l'attentat mortel au siège de l'hebdo satitique Charlie Hebdo. L'homme qui aurait tenu ces propos est interpellé par les policiers. Dans sa sacoche est retrouvé un couteau à huîtres.
Il récitait une chanson...
Lors de son audition en garde à vue, il reconnaît en partie les faits mais nie avoir parlé des frères Kouachi. Selon lui, il ne faisait que réciter une chanson, dont il est le seul à connaître puisqu'il n'a pas été en mesure de répéter les paroles ni de dire qui en était l'auteur.
Le mis en cause, âgé de 26 ans, faisait l'objet d'une fiche de recherches pour l'exécution d'une peine à deux mois de prison pour recel de vol. Il a été déféré au palais de justice de Rouen, hier dimanche, et présenté à un magistrat du parquet qui lui a notifié son incarcération.
Il devra répondre, à sa sortie de prison, à une convocation pour le 19 juin prochain devant le tribunal correctionnel pour ces derniers faits, à savoir "apologie directe et publique d'actes de terrorisme".
Il est environ 17 heures. Police-secours reçoit un appel d'un homme qui dit avoir été témoin, alors qu'il marchait rue du Grand Pont à Rouen, de propos "racistes et anti-français" d'un passant faisant "l'apologie des frères Kouachi", les auteurs de l'attentat mortel au siège de l'hebdo satitique Charlie Hebdo. L'homme qui aurait tenu ces propos est interpellé par les policiers. Dans sa sacoche est retrouvé un couteau à huîtres.
Il récitait une chanson...
Lors de son audition en garde à vue, il reconnaît en partie les faits mais nie avoir parlé des frères Kouachi. Selon lui, il ne faisait que réciter une chanson, dont il est le seul à connaître puisqu'il n'a pas été en mesure de répéter les paroles ni de dire qui en était l'auteur.
Le mis en cause, âgé de 26 ans, faisait l'objet d'une fiche de recherches pour l'exécution d'une peine à deux mois de prison pour recel de vol. Il a été déféré au palais de justice de Rouen, hier dimanche, et présenté à un magistrat du parquet qui lui a notifié son incarcération.
Il devra répondre, à sa sortie de prison, à une convocation pour le 19 juin prochain devant le tribunal correctionnel pour ces derniers faits, à savoir "apologie directe et publique d'actes de terrorisme".