Le ramassage et la consommation des coquillages filtreurs sont interdits jusqu’à nouvel ordre - Illustration @Pixabay
La présence d’une algue (le dinophysis) dans les coquillages filtreurs constatée par l’Ifremer *, vient de conduire la préfecture de Seine-Maritime à interdire la consommation humaine, le ramassage, la pêche de ces coquillages, jusqu’à nouvel ordre, sur le littoral et dans les eaux maritimes entre les communes du cap d’Antifer et Veulettes-sur-mer.
« La toxine contenue dans le dinophysis est peu sensible à l’action de la chaleur et n’est donc pas détruite par les traitements thermiques (cuisson) dans les préparations culinaires », expliquent les autorités sanitaires.
Les signes les plus fréquemment observés sont des diarrhées, des vomissements, des douleurs abdominales apparaissant dans un délai de 30 minutes à quelques heures après l’ingestion des coquillages porteurs de cette toxine.
« Cette interdiction doit être strictement observée », insiste la préfecture.
*Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer
« La toxine contenue dans le dinophysis est peu sensible à l’action de la chaleur et n’est donc pas détruite par les traitements thermiques (cuisson) dans les préparations culinaires », expliquent les autorités sanitaires.
Les signes les plus fréquemment observés sont des diarrhées, des vomissements, des douleurs abdominales apparaissant dans un délai de 30 minutes à quelques heures après l’ingestion des coquillages porteurs de cette toxine.
« Cette interdiction doit être strictement observée », insiste la préfecture.
*Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer