En Seine-Maritime, la tension est palpable depuis deux jours au lycée Bernard Palissy de Maromme. D'autres établissements pourraient rejoindre le mouvement ce jeudi 6 décembre dans l'agglomération rouennaise
Le recteur des académies de Rouen et de Caen a lancé, ce mercredi soir, un appel à la responsabilité des élèves en leur demandant de ne pas participer aux blocages et manifestations des jours qui viennent, « ceux-ci se déroulant dans un climat de violence mettant les jeunes en danger ».
Depuis le début de la semaine, des blocages ponctuels sont constatés dans les lycées des académies de Caen et de Rouen. « Ceux-ci sont peu nombreux, mais se caractérisent malheureusement souvent par un climat de fortes tensions et violences aux abords ou à l’extérieur des lycées », indique dans un communiqué le recteur Denis Rolland.
Plusieurs appels à la mobilisation ont été lancés par les syndicats lycéens, notamment pour ce jeudi 6 décembre.
Depuis le début de la semaine, des blocages ponctuels sont constatés dans les lycées des académies de Caen et de Rouen. « Ceux-ci sont peu nombreux, mais se caractérisent malheureusement souvent par un climat de fortes tensions et violences aux abords ou à l’extérieur des lycées », indique dans un communiqué le recteur Denis Rolland.
Plusieurs appels à la mobilisation ont été lancés par les syndicats lycéens, notamment pour ce jeudi 6 décembre.
Protection et sécurité des élèves
« La préoccupation principale est d’abord la protection et la sécurité des élèves, des personnels, ainsi que la sécurisation des lycées et de leurs abords face à un déchaînement de violence dans certains lieux », insiste le recteur, qui en appelle également à la responsabilité des parents d'élèves et des syndicats d'enseignants et lycéens.
Denis Rolland précise enfin que ses services sont en lien étroit avec les préfets et à l’écoute des chefs d’établissements de la région, afin que les lycées soient sécurisés, « avec si nécessaire la présence de forces de police ».
Denis Rolland précise enfin que ses services sont en lien étroit avec les préfets et à l’écoute des chefs d’établissements de la région, afin que les lycées soient sécurisés, « avec si nécessaire la présence de forces de police ».