Ce lundi 18 juillet, en fin d'après-midi, un surveillant de la prison des Vignettes à Val-de-Reuil (Eure) a été victime d'une agression de la part d'un détenu.
Les faits sont survenus dans le quartier probatoire (fermé), selon le syndicat pénitentiaire des surveillants (SPS) qui les révèle dans un communiqué de presse.
Vers 17h45, le détenu aurait demandé à utiliser la cabine téléphonique mais celle-ci étant déjà occupée le surveillant lui aurait demandé d'attendre. Pas satisfait de la réponse, le détenu aurait alors sauté sur le surveillant pour l'agresser.
"Il était déterminé, les yeux exorbités, prêt à en découdre... Par chance le collègue a chuté en cellule mais sur le détenu, près du lit, réussissant à se protéger en le maîtrisant avant l'arrivée des renforts", détaille Nicolas Bihan, secrétaire du SPS.
L'alarme portative (talkie walkie) qui équipe le surveillant n'aurait pas fonctionné. "Heureusement que l’infirmière était présente pour déclencher l’alarme murale", souffle le syndicaliste.
Le détenu sera placé en prévention au quartier disciplinaire.
Souffrant de douleurs à un bras, aiinsi qu'à une épaule et au dos, le surveillant a été conduit à l'hôpital où il s'est vu prescrire 2 jours d'interruption totale de travail. "Il déposera plainte", assure le SPS.
Ce nouvel incident s'ajoute à une longue liste d'agressions commises envers le personnel du centre des Vignettes, et que Le SPS dénonce régulièrement. "Faute de « moyens », l’administration attendra probablement un drame avant d’obtenir le budget nécessaire au remplacement des moyens de communication."
"Les surveillants ne se sentent hélas plus en sécurité, que ce soit à l'intérieur ou à l'extérieur des prisons Françaises", estime Nicolas Bihan.
Les faits sont survenus dans le quartier probatoire (fermé), selon le syndicat pénitentiaire des surveillants (SPS) qui les révèle dans un communiqué de presse.
Vers 17h45, le détenu aurait demandé à utiliser la cabine téléphonique mais celle-ci étant déjà occupée le surveillant lui aurait demandé d'attendre. Pas satisfait de la réponse, le détenu aurait alors sauté sur le surveillant pour l'agresser.
"Il était déterminé, les yeux exorbités, prêt à en découdre... Par chance le collègue a chuté en cellule mais sur le détenu, près du lit, réussissant à se protéger en le maîtrisant avant l'arrivée des renforts", détaille Nicolas Bihan, secrétaire du SPS.
L'alarme portative (talkie walkie) qui équipe le surveillant n'aurait pas fonctionné. "Heureusement que l’infirmière était présente pour déclencher l’alarme murale", souffle le syndicaliste.
Le détenu sera placé en prévention au quartier disciplinaire.
Souffrant de douleurs à un bras, aiinsi qu'à une épaule et au dos, le surveillant a été conduit à l'hôpital où il s'est vu prescrire 2 jours d'interruption totale de travail. "Il déposera plainte", assure le SPS.
Ce nouvel incident s'ajoute à une longue liste d'agressions commises envers le personnel du centre des Vignettes, et que Le SPS dénonce régulièrement. "Faute de « moyens », l’administration attendra probablement un drame avant d’obtenir le budget nécessaire au remplacement des moyens de communication."
"Les surveillants ne se sentent hélas plus en sécurité, que ce soit à l'intérieur ou à l'extérieur des prisons Françaises", estime Nicolas Bihan.