La bijouterie du Mail est située en centre-ville face à l'église d'Yvetot (@Google Maps)
SEINE-MARITIME - Les malfaiteurs qui ont agressé en pleine nuit à son domicile un couple de bijoutiers d'Yvetot étaient bien renseignés. "Ils ne sont pas venus au hasard. Ils ont fait des repérages et suivi leurs victimes pour savoir où ils habitaient", explique une source judiciaire.
Le mari de la bijoutière est ligoté
Les faits sont survenus dans la nuit de mardi à mercredi. Il est environ 3 heures du matin. Le couple de commerçants qui habite à Maulévrier-Sainte-Gertrude, dans le canton de Caudebec-en-Caux, dort profondément lorsque, brutalement, il est réveillé par trois individus encagoulés et gantés. Les malfaiteurs ne sont semble-t-il pas armés. En tout cas aucune arme n'est signalée par les victimes.
Le bijoutier âgé de 58 ans est immédiatement ligoté dans sa chambre. L'un des malfaiteurs le retient en otage tandis que ses complices contraignent l'épouse, âgée de 55 ans, à les conduire dans sa propre voiture jusqu'à sa boutique à l'enseigne Bijouterie du Mail, en plein centre ville d'Yvetot.
100 000 euros de préjudice
Dans la place, les agresseurs vident tous les présentoirs de bijoux. La précieuse marchandise - colliers, bagues, montres, alliances... - est déposée dans des sacs. La razzia terminée, les malfaiteurs reviennent au domicile de leurs victimes distant de 9 kilomètres. Ils déposent la bijoutière et la ligotent à son tour. Le commando prend la fuite à bord de la voiture des commerçants. Le véhicule est retrouvé totalement calciné en fin de nuit un peu après Bolbec en direction du Havre.
L'alerte sera donnée vers 5 heures du matin, lorsque le couple aura réussi à se libérer de ses liens.
Selon nos informations, le butin, dont le montant reste à préciser, s'élèverait à 100 000 euros !
La gérante très choquée
Il n'y a pas eu de violence physique à proprement parler, souligne-t-on au parquet de Rouen, mais la gérante de la bijouterie a été très fortement choquée.
Après les premières investigations effectuées sur place par les gendarmes de la compagnie d'Yvetot, l'enquête a été confiée à la Section recherches (SR) de Rouen, l'équivalent pour la gendarmerie du Service régional de police judiciaire (SRPJ). Les techniciens de la cellule d'identification criminelle (CIC) ont passé au peigne fin la demeure des victimes mais aussi la bijouterie à la recherche d'indices, empreintes et traces ADN, qui pourraient les aider à identifier les auteurs de cette agression.
Le mari de la bijoutière est ligoté
Les faits sont survenus dans la nuit de mardi à mercredi. Il est environ 3 heures du matin. Le couple de commerçants qui habite à Maulévrier-Sainte-Gertrude, dans le canton de Caudebec-en-Caux, dort profondément lorsque, brutalement, il est réveillé par trois individus encagoulés et gantés. Les malfaiteurs ne sont semble-t-il pas armés. En tout cas aucune arme n'est signalée par les victimes.
Le bijoutier âgé de 58 ans est immédiatement ligoté dans sa chambre. L'un des malfaiteurs le retient en otage tandis que ses complices contraignent l'épouse, âgée de 55 ans, à les conduire dans sa propre voiture jusqu'à sa boutique à l'enseigne Bijouterie du Mail, en plein centre ville d'Yvetot.
100 000 euros de préjudice
Dans la place, les agresseurs vident tous les présentoirs de bijoux. La précieuse marchandise - colliers, bagues, montres, alliances... - est déposée dans des sacs. La razzia terminée, les malfaiteurs reviennent au domicile de leurs victimes distant de 9 kilomètres. Ils déposent la bijoutière et la ligotent à son tour. Le commando prend la fuite à bord de la voiture des commerçants. Le véhicule est retrouvé totalement calciné en fin de nuit un peu après Bolbec en direction du Havre.
L'alerte sera donnée vers 5 heures du matin, lorsque le couple aura réussi à se libérer de ses liens.
Selon nos informations, le butin, dont le montant reste à préciser, s'élèverait à 100 000 euros !
La gérante très choquée
Il n'y a pas eu de violence physique à proprement parler, souligne-t-on au parquet de Rouen, mais la gérante de la bijouterie a été très fortement choquée.
Après les premières investigations effectuées sur place par les gendarmes de la compagnie d'Yvetot, l'enquête a été confiée à la Section recherches (SR) de Rouen, l'équivalent pour la gendarmerie du Service régional de police judiciaire (SRPJ). Les techniciens de la cellule d'identification criminelle (CIC) ont passé au peigne fin la demeure des victimes mais aussi la bijouterie à la recherche d'indices, empreintes et traces ADN, qui pourraient les aider à identifier les auteurs de cette agression.