L'équipe de malfaiteurs était depuis quelques mois dans le collimateur des enquêteurs de la police judiciaire de Versailles (Photo d'illustration @DGPN)
Une équipe de malfaiteurs, soupçonnée d'avoir braqué 14 commerçants asisatiques, en se faisant passer pour des policiers ou douaniers, ont été écroués mardi soir. Il pourrait s'agir des individus (ou d'une équipe similaire), déguisés en faux douaniers qui ont dévalisé un couple de restaurateurs chinois la semaine dernière à Petit-Quevilly, près de Rouen
Les individus, au nombre de trois, ont été interpellés par la police judiciaire de Versailles qui enquêtait depuis quelques semaines sur une série de braquages commis avec toujours le même mode opératoire et dont les victimes étaient des commerçants asiatiques de la région parisienne.
La panoplie du parfait enquêteur
Carte de police, brassards de police, talkies-walkies... les malfaiteurs avaient quasiment tout de la panoplie de l'enquêteur de la police nationale. Y compris le vocabulaire.
Dans la plupart des cas, ils se présentaient dans la journée au domicile de leur victime et faisaient croire à la femme que son mari était en garde à vue. Et que pour les besoins de l'enquête, ils devaient procéder à une perquisition. Les individus profitaient de la fouille de la maison ou de l'appartement pour faire main basse sur l'argent liquide que le commerçant pouvait garder chez lui.
Quatorze commerçants ont ainsi été pris au piège de ces faux policiers, qui auraient amassé un coquet magot estimé à plus de 100 000 € en quelques mois.
Le même mode opératoire qu'à Petit-Quevilly
Ce mode opératoire est à rapprocher de celui utilisé par quatre malfaiteurs vêtus d'uniformes de douanier qui ont attaqué un couple de restaurateurs asiatiques, à leur domicile à Petit-Quevilly, dans la nuit de samedi 13 décembre.
Les individus, dont trois étaient encagoulés et portaient une arme à la ceinture, étaient parvenus à s'introduire dans la demeure des commerçants prétextant une enquête. Ils menottaient alors le restaurateur avant de l'obliger à les conduire à la cave où se trouvait le coffre-fort. Le montant du préjudice a été estimé par la victime à plusieurs milliers d'euros.
Les individus, au nombre de trois, ont été interpellés par la police judiciaire de Versailles qui enquêtait depuis quelques semaines sur une série de braquages commis avec toujours le même mode opératoire et dont les victimes étaient des commerçants asiatiques de la région parisienne.
La panoplie du parfait enquêteur
Carte de police, brassards de police, talkies-walkies... les malfaiteurs avaient quasiment tout de la panoplie de l'enquêteur de la police nationale. Y compris le vocabulaire.
Dans la plupart des cas, ils se présentaient dans la journée au domicile de leur victime et faisaient croire à la femme que son mari était en garde à vue. Et que pour les besoins de l'enquête, ils devaient procéder à une perquisition. Les individus profitaient de la fouille de la maison ou de l'appartement pour faire main basse sur l'argent liquide que le commerçant pouvait garder chez lui.
Quatorze commerçants ont ainsi été pris au piège de ces faux policiers, qui auraient amassé un coquet magot estimé à plus de 100 000 € en quelques mois.
Le même mode opératoire qu'à Petit-Quevilly
Ce mode opératoire est à rapprocher de celui utilisé par quatre malfaiteurs vêtus d'uniformes de douanier qui ont attaqué un couple de restaurateurs asiatiques, à leur domicile à Petit-Quevilly, dans la nuit de samedi 13 décembre.
Les individus, dont trois étaient encagoulés et portaient une arme à la ceinture, étaient parvenus à s'introduire dans la demeure des commerçants prétextant une enquête. Ils menottaient alors le restaurateur avant de l'obliger à les conduire à la cave où se trouvait le coffre-fort. Le montant du préjudice a été estimé par la victime à plusieurs milliers d'euros.