Les malfaiteurs, puissamment armé, s'étaient emparés de 44 000€ de bijoux, avant d'enfermer leurs victimes et de prendre la fuite avec leur voiture (Photo d'illustration)
Quatre malfaiteurs ont été interpellés la semaine dernière par les gendarmes de la Section de recherche (SR) de Rouen, qui enquêtaient sur deux braquages de bijouteries, dans l'Eure.
Les premiers faits remontent au 25 janvier 2014. Ce jour là, un samedi, trois individus font irruption dans la bijouterie "Au bijou d'or", à Gisors. Ils sont armés et cagoulés. Après avoir brisé les vitrines, ils se font ouvrir le coffre, et repartent avec 177 000 euros de bijoux.
Kalachnikov et armes de poing
Ce vol à main armée va revenir rapidement à la mémoire des gendarmes. En
Les premiers faits remontent au 25 janvier 2014. Ce jour là, un samedi, trois individus font irruption dans la bijouterie "Au bijou d'or", à Gisors. Ils sont armés et cagoulés. Après avoir brisé les vitrines, ils se font ouvrir le coffre, et repartent avec 177 000 euros de bijoux.
Kalachnikov et armes de poing
Ce vol à main armée va revenir rapidement à la mémoire des gendarmes. En
effet, quelques semaines plus tard, le 12 avril 2014, vers 9 heures du matin, ils sont chargés d'enquêter sur un autre braquage commis dans une autre bijouterie, rue de Vienne toujours à Gisors , par un commando déterminé d'hommes armés et cagoulés. Le mode opératoire est toutefois bien différent : dans ce cas précis, les malfaiteurs n'hésitent pas à enlever le couple de bijoutiers à son domicile, dans l'Oise.
Puis, sous la menace d'une kalachnikov et d'armes de poing, ils contraignent les victimes à les conduire jusqu'à leur boutique, la bijouterie « Noël » installée dans le centre-ville de Gisors. Arrivés sur place, ils se font ouvrir le commerce et, sous la menace, s'emparent de 40 000 euros de bijoux. Les malfaiteurs enferment les commerçants dans la boutique et repartent avec le véhicule des victimes. Ce dernier sera retrouvé incendié quelques heures plus tard, dans le département de l'Oise.
Puis, sous la menace d'une kalachnikov et d'armes de poing, ils contraignent les victimes à les conduire jusqu'à leur boutique, la bijouterie « Noël » installée dans le centre-ville de Gisors. Arrivés sur place, ils se font ouvrir le commerce et, sous la menace, s'emparent de 40 000 euros de bijoux. Les malfaiteurs enferment les commerçants dans la boutique et repartent avec le véhicule des victimes. Ce dernier sera retrouvé incendié quelques heures plus tard, dans le département de l'Oise.
Interpellations dans le Val d'Oise et les Hauts-de-Seine
Le parquet d'Evreux confie ces deux enquêtes à la Section de recherches de la gendarmerie. Une information judiciaire est rapidement ouverte au cabinet d'un juge d'instruction.
Les investigations menées durant plusieurs mois permettent aux enquêteurs de relier les deux vols à main armée et d'identifier les auteurs présumés.
Ainsi, mardi dernier, une opération judiciaire est déclenchée dans le Val d'Oise et les Hauts-de-Seine. Quatre suspects sont interpellés et placés en garde à vue pour vols à main armée en bande organisée et séquestration. Ils sont mis en examen vendredi 20 mars à l'issue de leur présentation au juge d'instruction en charge des deux affaires.
Tous les quatre seront placés en détention provisoire par le juge des libertés et de la détention (JLD).
Le parquet d'Evreux confie ces deux enquêtes à la Section de recherches de la gendarmerie. Une information judiciaire est rapidement ouverte au cabinet d'un juge d'instruction.
Les investigations menées durant plusieurs mois permettent aux enquêteurs de relier les deux vols à main armée et d'identifier les auteurs présumés.
Ainsi, mardi dernier, une opération judiciaire est déclenchée dans le Val d'Oise et les Hauts-de-Seine. Quatre suspects sont interpellés et placés en garde à vue pour vols à main armée en bande organisée et séquestration. Ils sont mis en examen vendredi 20 mars à l'issue de leur présentation au juge d'instruction en charge des deux affaires.
Tous les quatre seront placés en détention provisoire par le juge des libertés et de la détention (JLD).