Les investigations de la police technique et scientifique réalisées dès cette nuit dans les deux McDonald's apporteront-elles des éléments (traces ADN) susceptibles d'identifier les auteurs ? (Photo d'illustration DGPN)
Les gérants de deux restaurants McDonald's ont été braqués cette nuit par une équipe de malfaiteurs, à Saint-Etienne-du-Rouvray en Seine-Maritime et à Val-de-Reuil, dans l'Eure. Dans les deux cas, les commerçants, un homme de 34 ans et une femme de 43 ans, ont été pris en otage et contraints d'ouvrir leur coffre-fort.
Le montant du butin, sans doute très important, n'a pas été précisé.
Braqués à la station-service
Il est un peu plus minuit cette nuit de dimanche à lundi, selon le récit des victimes. La gérante du McDonald's de Val-de-Reuil, après la fermeture de son établissement, rejoint son mari qui dirige lui aussi un McDonald's à Saint-Etienne-du-Rouvray. Le couple utilise la même voiture, une Peugeot 207, pour rentrer chez lui.
Avant de reprendre la route, les commerçants s'arrêtent à la station Total, avenue des Canadiens, pour faire le plein de carburant de leur véhicule. Mais à cet instant, ils sont braqués par deux hommes, dont l'un pointe une arme de poing, l'autre un fusil à pompe. Ils sont cagoulés et gantés.
Ils vident les coffres-forts
Les malfaiteurs qui les attendent sans aucun doute semblent très déterminés. Ils ordonnent au couple de monter dans sa voiture et de les conduire jusqu'à Val-de-Reuil. En arrivant sur place, devant le McDonald's, deux complices sont là. Les quatre individus se font ouvrir le restaurant, puis le coffre-fort qui contient la recette de la journée.
Ce n'est pas fini. Les braqueurs se font ramener par leurs victimes à Saint-Etienne-du-Rouvray. Même scénario : ils jettent leur dévolu sur le contenu du coffre que le gérant a été contraint d'ouvrir sous la menace de leurs armes. Le couple est ensuite pris en otage et obligé d'accompagner les malfaiteurs dans leur fuite. Il est relâché à une vingtaine de kilomètres de là, sur le bord de la route à Pont-de-l'Arche.
Les victimes sont rentrés vers Rouen, où ils ont appelés la police, en faisant de l'auto-stop. Ils n'ont pas été blessés.
L'enquête a été confiée au Service régional de police judiciaire. Les deux victimes ont d'ores et déjà auditionnées sur les circonstances et le déroulement précis de ces agressions. L'exploitation de la vidéo-surveillance pourrait permettre aussi de relever des indices intéressants pour l'enquête.
Le montant du butin, sans doute très important, n'a pas été précisé.
Braqués à la station-service
Il est un peu plus minuit cette nuit de dimanche à lundi, selon le récit des victimes. La gérante du McDonald's de Val-de-Reuil, après la fermeture de son établissement, rejoint son mari qui dirige lui aussi un McDonald's à Saint-Etienne-du-Rouvray. Le couple utilise la même voiture, une Peugeot 207, pour rentrer chez lui.
Avant de reprendre la route, les commerçants s'arrêtent à la station Total, avenue des Canadiens, pour faire le plein de carburant de leur véhicule. Mais à cet instant, ils sont braqués par deux hommes, dont l'un pointe une arme de poing, l'autre un fusil à pompe. Ils sont cagoulés et gantés.
Ils vident les coffres-forts
Les malfaiteurs qui les attendent sans aucun doute semblent très déterminés. Ils ordonnent au couple de monter dans sa voiture et de les conduire jusqu'à Val-de-Reuil. En arrivant sur place, devant le McDonald's, deux complices sont là. Les quatre individus se font ouvrir le restaurant, puis le coffre-fort qui contient la recette de la journée.
Ce n'est pas fini. Les braqueurs se font ramener par leurs victimes à Saint-Etienne-du-Rouvray. Même scénario : ils jettent leur dévolu sur le contenu du coffre que le gérant a été contraint d'ouvrir sous la menace de leurs armes. Le couple est ensuite pris en otage et obligé d'accompagner les malfaiteurs dans leur fuite. Il est relâché à une vingtaine de kilomètres de là, sur le bord de la route à Pont-de-l'Arche.
Les victimes sont rentrés vers Rouen, où ils ont appelés la police, en faisant de l'auto-stop. Ils n'ont pas été blessés.
L'enquête a été confiée au Service régional de police judiciaire. Les deux victimes ont d'ores et déjà auditionnées sur les circonstances et le déroulement précis de ces agressions. L'exploitation de la vidéo-surveillance pourrait permettre aussi de relever des indices intéressants pour l'enquête.