Un père de famille âgé de 30 ans a été entendu par les services de police du Havre. Il lui est reproché d'avoir enfermé son enfant de 3 ans dans une machine à laver industrielle au centre commercial Intermarché, avenue du Président Wilson à Montivilliers (Seine-Maritime).
Hier, mercredi, vers 18 heures, les sapeurs-pompiers interviennent pour libérer un très jeune enfant prisonnier dans le tambour d'un lave-linge. Alertés par un témoin, ils sont contraints de briser le hublot de la machine industrielle. Victime d'un malaise suite à une crise d'angoisse, le petit garçon a été transporté aux urgences pédiatriques du centre hospitalier Jacques-Monod à Montivilliers, pour examen. Ses jours ne sont pas en danger.
Hier, mercredi, vers 18 heures, les sapeurs-pompiers interviennent pour libérer un très jeune enfant prisonnier dans le tambour d'un lave-linge. Alertés par un témoin, ils sont contraints de briser le hublot de la machine industrielle. Victime d'un malaise suite à une crise d'angoisse, le petit garçon a été transporté aux urgences pédiatriques du centre hospitalier Jacques-Monod à Montivilliers, pour examen. Ses jours ne sont pas en danger.
Le parquet saisit les services sociaux
Sur place, le père de l'enfant a expliqué avoir enfermé son fils en s'amusant avec lui et pour faire une photo. Après l'avoir refermé, le hublot s'est verrouillé automatiquement, avec la petite victime à l'intérieur du tambour où elle est restée prisonnière de très longues minutes.
Pour la petite histoire, un agent de sécurité du centre commercial où est implantée la laverie a tenté d'empêcher les sapeurs-pompiers de casser le hublot. Le père de l'enfant a promis de payer les réparations, selon une source proche de l'enquête.
Le parquet du Havre a saisi les services sociaux et a demandé une enquête en attendant de décider de la suite à donner à cette affaire.
Pour la petite histoire, un agent de sécurité du centre commercial où est implantée la laverie a tenté d'empêcher les sapeurs-pompiers de casser le hublot. Le père de l'enfant a promis de payer les réparations, selon une source proche de l'enquête.
Le parquet du Havre a saisi les services sociaux et a demandé une enquête en attendant de décider de la suite à donner à cette affaire.