Un homme a été découvert sans vie par les sapeurs-pompiers qui intervenaient pour un incendie, cette nuit de dimanche à lundi à Montvilliers, en Seine-Maritime. Le quinquagénaire s’était pendu avec une cordelette au niveau de la porte et avait préalablement répandu et enflammé de l’alcool à brûler.
Les pompiers cassent un mur mitoyen
Il est autour de minuit et demi lorsque des habitants d’une maison de ville située à l’angle des rues Michel et Oscar-Germain alertent les secours pour indiquer que des flammes sortent par le toit de leur habitation, mitoyenne avec une autre.
Dès leur arrivée, les sapeurs-pompiers sécurisent les lieux et font évacuer une dizaine de personnes. Dans un même temps, ils tentent d’ouvrir la porte, qui est bloquée, de la maison mitoyenne afin de procéder à une reconnaissance. En vain. Ils sont alors contraints de casser le mur mitoyen entre les deux maisons pour pénétrer dans le logement voisin.
Dès leur arrivée, les sapeurs-pompiers sécurisent les lieux et font évacuer une dizaine de personnes. Dans un même temps, ils tentent d’ouvrir la porte, qui est bloquée, de la maison mitoyenne afin de procéder à une reconnaissance. En vain. Ils sont alors contraints de casser le mur mitoyen entre les deux maisons pour pénétrer dans le logement voisin.
Un différend avec son propriétaire
Lors de l’intervention, ils découvrent le corps d’un homme de 54 ans pendu avec une cordelette au niveau de la porte d’entrée.
Selon les premiers éléments, ce dernier aurait mis le feu dans le grenier à l’aide d’alcool à brûler avant de mettre fin à ses jours.
Un différend entre le locataire et le propriétaire du logement pourrait être à l’origine de cet acte, selon une source proche de l’enquête.
La famille dont le mur de la maison a été cassé (un couple et deux enfants de 13 et 15 ans) ont été relogés provisoirement.
Selon les premiers éléments, ce dernier aurait mis le feu dans le grenier à l’aide d’alcool à brûler avant de mettre fin à ses jours.
Un différend entre le locataire et le propriétaire du logement pourrait être à l’origine de cet acte, selon une source proche de l’enquête.
La famille dont le mur de la maison a été cassé (un couple et deux enfants de 13 et 15 ans) ont été relogés provisoirement.