Michel Rocard est décédé ce samedi après-midi à l'âge de 85 ans (photo@youtube.com)
Bernard Cazeneuve, Ministre de l’Intérieur, a exprimé ce soir ses "sentiments de très grande tristesse" à l’annonce de la mort à 85 ans de Michel Rocard, ancien premier ministre de François Mitterrand, ancien député-maire de Conflans-Sainte-Honorine et sénateur des Yvelines.
"Michel Rocard était un homme d’Etat qui a inlassablement œuvré en faveur d’une société plus juste, d’une économie plus prospère, d’une France moderne et apaisée au sein d’une Europe plus forte", réagit Bernard Cazeneuve.
"Il laisse en particulier un riche héritage à l’administration de l’Etat et aux services du ministère de l’Intérieur. Convaincu très tôt de la nécessité de la décentralisation, il a créé les contrats entre l’Etat et les régions. Homme de dialogue, il a jeté les bases, dans des circonstances dramatiques, d’une paix civile durable fondée sur le respect réciproque et sur le développement économique en Nouvelle Calédonie".
"Conscient des enjeux attachés aux questions de sécurité, de la nécessité de doter l’Etat d’outils efficaces pour défendre la République dans le respect scrupuleux du droit, il a lancé le Comité interministériel du renseignement", rappelle notamment le ministre de l'Intérieur.
Bernard Cazeneuve a souhaité enfin saluer "la mémoire de ce grand réformateur, dont l’œuvre, l’éthique et la méthode demeurent un exemple et une source d’inspiration pour tous les Français attachés à la modernisation de notre pays et à la défense intransigeante des valeurs de la République".
"Michel Rocard était un homme d’Etat qui a inlassablement œuvré en faveur d’une société plus juste, d’une économie plus prospère, d’une France moderne et apaisée au sein d’une Europe plus forte", réagit Bernard Cazeneuve.
"Il laisse en particulier un riche héritage à l’administration de l’Etat et aux services du ministère de l’Intérieur. Convaincu très tôt de la nécessité de la décentralisation, il a créé les contrats entre l’Etat et les régions. Homme de dialogue, il a jeté les bases, dans des circonstances dramatiques, d’une paix civile durable fondée sur le respect réciproque et sur le développement économique en Nouvelle Calédonie".
"Conscient des enjeux attachés aux questions de sécurité, de la nécessité de doter l’Etat d’outils efficaces pour défendre la République dans le respect scrupuleux du droit, il a lancé le Comité interministériel du renseignement", rappelle notamment le ministre de l'Intérieur.
Bernard Cazeneuve a souhaité enfin saluer "la mémoire de ce grand réformateur, dont l’œuvre, l’éthique et la méthode demeurent un exemple et une source d’inspiration pour tous les Français attachés à la modernisation de notre pays et à la défense intransigeante des valeurs de la République".