l'hélicoptère Caiman de la Marine nationale, stationné à Maupertus, a participé ce soir aux recherches (Photo@defense.gouv.fr)
Ce vendredi soir (30 septembre), à 20H30, le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (CROSS) Jobourg a été alerté par un témoin ayant vu un signal de détresse "feu à main" rouge dans le secteur des îles Saint-Marcouf (Manche).
Immédiatement, un message à été diffusé à l'attention des navires croisant dans la zone. Le navire de pêche Saint-Philippe a alors proposé son concours et a alors été engagé par le CROSS pour couvrir un périmètre de recherche.
Par ailleurs, l'hélicoptère Caiman de la Marine nationale, stationné à Maupertus, dans la Manche, ainsi que le canot de la Société nationale de sauveteurs en mer (SNSM) de Saint-Vaast la Hougue ont été mobilisés.
Arrivé à bon port
Peu après 22 heures, le CROSS Jobourg a reçu l'appel du plaisancier ayant déclenché le signal de détresse, intrigué par la présence de l'hélicoptère au-dessus de St Marcouf. Celui-ci a précisé être bien arrivé au port de Grandcamp Maisy grâce à l'assistance d'un autre plaisancier qui l'avait pris en remorque juste après la percussion du signal de détresse.
Les deux embarcations n'ayant pas de moyens de communication VHF ou téléphonique, il leur a été impossible de recevoir les messages du CROSS et de signaler leur situation.
Immédiatement, un message à été diffusé à l'attention des navires croisant dans la zone. Le navire de pêche Saint-Philippe a alors proposé son concours et a alors été engagé par le CROSS pour couvrir un périmètre de recherche.
Par ailleurs, l'hélicoptère Caiman de la Marine nationale, stationné à Maupertus, dans la Manche, ainsi que le canot de la Société nationale de sauveteurs en mer (SNSM) de Saint-Vaast la Hougue ont été mobilisés.
Arrivé à bon port
Peu après 22 heures, le CROSS Jobourg a reçu l'appel du plaisancier ayant déclenché le signal de détresse, intrigué par la présence de l'hélicoptère au-dessus de St Marcouf. Celui-ci a précisé être bien arrivé au port de Grandcamp Maisy grâce à l'assistance d'un autre plaisancier qui l'avait pris en remorque juste après la percussion du signal de détresse.
Les deux embarcations n'ayant pas de moyens de communication VHF ou téléphonique, il leur a été impossible de recevoir les messages du CROSS et de signaler leur situation.