Une partie des objets destinés à fabriquer des engins incendiaires ont été découverts dans un bosquet près de l'hôtel de ville
Deux rouennais ont été placés en garde à vue, hier soir, dans le cadre du rassemblement quasi-quotidien "Nuit debout", sur le parvis de l'hôtel de ville de Rouen (place du Général de Gaulle).
Les faits. Peu avant 19 heures, les policiers sont avisés que deux individus ont été aperçus en train de fabriquer des cocktails Molotov. Immédiatement, plusieurs équipages de la brigade anti-criminalité (BAC), de la compagnie départementale d'intervention (CDI) et de la brigade canine se rendent sur place où sont réunis une cinquantaine de manifestants. Les deux suspects sont rapidement repérés. L'un d'eux est un peu à l'écart. Il est appréhendé par les hommes de la CDI. Il s'agit d'un homme âgé de 29 ans, sans emploi, qui a déjà été condamné il y a quelques semaines pour une agression sur un policier dans le cadre d'une précédente manifestation.
Le policier est projeté
contre une vitrine
Le deuxième suspect est à son tour répéré par la BAC. Il est discrètement suivi rue de la République alors qu'il est en compagnie d'une dizaine d'autres manifestants. Les policiers attendent alors que le groupe se disloque pour intervenir. Mais l'interpellation de l'individu sera plus compliquée que prévu : l'un des policiers est projeté violemment contre une vitrine par un des manifestants. Ce dernier, un Rouennais de 36 ans, est finalement neutralisé et arrêté pour violences volontaires sur personne dépositaire de l'autorité publique. Le policier a reçu des soins à l'hôpital de Petit-Quevilly.
Le second suspect a quant à lui réussi à prendre la fuite. Identifié, il est activement recherché.
De quoi fabriquer
des engins incendiaires
Lors des investigations, cinq bouteilles en plastique vide, une bouteille contenant de l'acide chlorhydrique et du papier d'aluminium destinés à confectionner des engins incendiaires ont été découverts cachés dans un bosquet à proximité de l'abbatiale et des jardins de l'hôtel de ville. Les enquêteurs ont également retrouvé deux bombes de peinture aérosol et un gant en latex.
Les deux individus étaient toujours entendus ce mercredi matin par les policiers du groupe de voie publique de la sûreté départementale.
Les faits. Peu avant 19 heures, les policiers sont avisés que deux individus ont été aperçus en train de fabriquer des cocktails Molotov. Immédiatement, plusieurs équipages de la brigade anti-criminalité (BAC), de la compagnie départementale d'intervention (CDI) et de la brigade canine se rendent sur place où sont réunis une cinquantaine de manifestants. Les deux suspects sont rapidement repérés. L'un d'eux est un peu à l'écart. Il est appréhendé par les hommes de la CDI. Il s'agit d'un homme âgé de 29 ans, sans emploi, qui a déjà été condamné il y a quelques semaines pour une agression sur un policier dans le cadre d'une précédente manifestation.
Le policier est projeté
contre une vitrine
Le deuxième suspect est à son tour répéré par la BAC. Il est discrètement suivi rue de la République alors qu'il est en compagnie d'une dizaine d'autres manifestants. Les policiers attendent alors que le groupe se disloque pour intervenir. Mais l'interpellation de l'individu sera plus compliquée que prévu : l'un des policiers est projeté violemment contre une vitrine par un des manifestants. Ce dernier, un Rouennais de 36 ans, est finalement neutralisé et arrêté pour violences volontaires sur personne dépositaire de l'autorité publique. Le policier a reçu des soins à l'hôpital de Petit-Quevilly.
Le second suspect a quant à lui réussi à prendre la fuite. Identifié, il est activement recherché.
De quoi fabriquer
des engins incendiaires
Lors des investigations, cinq bouteilles en plastique vide, une bouteille contenant de l'acide chlorhydrique et du papier d'aluminium destinés à confectionner des engins incendiaires ont été découverts cachés dans un bosquet à proximité de l'abbatiale et des jardins de l'hôtel de ville. Les enquêteurs ont également retrouvé deux bombes de peinture aérosol et un gant en latex.
Les deux individus étaient toujours entendus ce mercredi matin par les policiers du groupe de voie publique de la sûreté départementale.