La mère de famille a été interpellée dans le cadre d'une enquête sur une série de cambriolages et de home-jacking (Illustration)
Une mère de quatre enfants, âgée de 37 ans, impliquée dans un trafic de drogue, comparaîtra le12 décembre prochain devant le tribunal correctionnel de Rouen. Elle a été interpellée le 9 novembre à son domicile à Petit-Quevilly dans le cadre d'une enquête sur une série de vols par effraction et de home-jacking.
Accroc au cannabis
Lors de la perquisition chez elle, les policiers de la brigade de répression de la délinquance automobile (BRDA) ont découvert incidemment 350 grammes de résine de cannabis, 400 grammes d'herbe de cannabis, 2 grammes de cocaïne et 5 500€ en liquide. En outre, un couteau avec la lame noircie et une balance électronique de précision ont également été saisis.
Lors de son audition par les enquêteurs cette fois de la brigade des stupéfiants, la mère de famille a reconnu que les produits stupéfiants retrouvés à son domicile lui appartiennent. Elle a expliqué être accroc au cannabis depuis plusieurs années. Ayant rencontré de gros problèmes d'argent, elle affirme avoir commencé à se livrer au trafic de drogue vers la fin 2014 afin de pouvoir financer sa propre consommation.
Pour nourrir ses enfants
C'est ainsi que, selon ses déclarations, en deux ans elle aurait acquis 17,5 kg de résine de cannabis et 450 grammes d'herbe à la fois pour ses besoins et en aurait revendu une grosse partie - 11,3 kg - à une quarantaine de clients réguliers, lui permettant de tirer de ce trafic 22 600€ de bénéfices.
L'argent ainsi récupéré lui aurait permis de se fournir en produits stupéfiants mais aussi d'acheter des biens et de la nourriture pour ses quatre enfants.
Auditionnés par les policiers, trois des clients de la trafiquante ont confirmé qu'ils se fournissaient en drogue auprès d'elle à Petit-Quevilly. Ils ont fait l'objet d'un rappel à la loi.
Jugée le 12 décembre prochain
Déférée hier, lundi 14 novembre, devant le magistrat de permanence du parquet de Rouen, la mère de famille toxicomane s'est vu notifier sa comparution immédiate pour le jour même. Mais souhaitant préparer sa défense, à sa demande le procès a été renvoyé au 12 décembre.
Les stupéfiants saisis ont été détruits et les 5 500€ déposés à l'Agence de recouvrement des avoirs saisis et confisqués (AGRASC).
Accroc au cannabis
Lors de la perquisition chez elle, les policiers de la brigade de répression de la délinquance automobile (BRDA) ont découvert incidemment 350 grammes de résine de cannabis, 400 grammes d'herbe de cannabis, 2 grammes de cocaïne et 5 500€ en liquide. En outre, un couteau avec la lame noircie et une balance électronique de précision ont également été saisis.
Lors de son audition par les enquêteurs cette fois de la brigade des stupéfiants, la mère de famille a reconnu que les produits stupéfiants retrouvés à son domicile lui appartiennent. Elle a expliqué être accroc au cannabis depuis plusieurs années. Ayant rencontré de gros problèmes d'argent, elle affirme avoir commencé à se livrer au trafic de drogue vers la fin 2014 afin de pouvoir financer sa propre consommation.
Pour nourrir ses enfants
C'est ainsi que, selon ses déclarations, en deux ans elle aurait acquis 17,5 kg de résine de cannabis et 450 grammes d'herbe à la fois pour ses besoins et en aurait revendu une grosse partie - 11,3 kg - à une quarantaine de clients réguliers, lui permettant de tirer de ce trafic 22 600€ de bénéfices.
L'argent ainsi récupéré lui aurait permis de se fournir en produits stupéfiants mais aussi d'acheter des biens et de la nourriture pour ses quatre enfants.
Auditionnés par les policiers, trois des clients de la trafiquante ont confirmé qu'ils se fournissaient en drogue auprès d'elle à Petit-Quevilly. Ils ont fait l'objet d'un rappel à la loi.
Jugée le 12 décembre prochain
Déférée hier, lundi 14 novembre, devant le magistrat de permanence du parquet de Rouen, la mère de famille toxicomane s'est vu notifier sa comparution immédiate pour le jour même. Mais souhaitant préparer sa défense, à sa demande le procès a été renvoyé au 12 décembre.
Les stupéfiants saisis ont été détruits et les 5 500€ déposés à l'Agence de recouvrement des avoirs saisis et confisqués (AGRASC).