Le RAID, unité d'élite de la police nationale, est intervenu ce lundi en fin d'après-midi à Petit-Quevilly, près de Rouen, où un homme, armé d'un revolver 38m/m, s'est retranché dans une habitation. Le forcené s'est finalement rendu. Il a été placé en garde à vue.
Les faits. Il est un peu plus de 13 heures lorsque l'hôtel de police de Rouen est informé qu'un individu est retranché au domicile de deux amis de son ex-compagne, passage Liegeard, à Petit-Quevilly.
Il est venu demander des explications. Mais la discussion s'est mal passée. L'homme, âgé 50 ans, a-t-il menacé ses hôtes ? Et pourquoi ? Toujours est-il que ces derniers se sont emparés d'une carabine et ont tenté de se défendre en frappant le visiteur avec la crosse de l'arme. Les deux hommes et une femme également présente ont pu finalement s'échapper de l'habitation, laissant leur agresseur seul à l'intérieur.
Les faits. Il est un peu plus de 13 heures lorsque l'hôtel de police de Rouen est informé qu'un individu est retranché au domicile de deux amis de son ex-compagne, passage Liegeard, à Petit-Quevilly.
Il est venu demander des explications. Mais la discussion s'est mal passée. L'homme, âgé 50 ans, a-t-il menacé ses hôtes ? Et pourquoi ? Toujours est-il que ces derniers se sont emparés d'une carabine et ont tenté de se défendre en frappant le visiteur avec la crosse de l'arme. Les deux hommes et une femme également présente ont pu finalement s'échapper de l'habitation, laissant leur agresseur seul à l'intérieur.
Le quartier est bouclé
A leur arrivée, les policiers de la brigade anti-criminalité (BAC) ont essayé de raisonner le forcené qui faisait des allées et venues dans les pièces de la maison. Il exhibait ostensiblement une arme de poing sans menacer directement les forces de l'ordre. L'homme refusant tout dialogue et s'étant réfugié dans une chambre à l'étage, les fonctionnaires de la BAC ont tenté de le neutraliser par un tir de flash ball.
Entre-temps, devant la tournure des événements, le quartier a été bouclé par mesure de sécurité. Le réseau de gaz a été coupé et les sapeurs-pompiers ont été mobilisés en cas de besoin.
Le directeur départemental de la sécurité publique (DDSP) de Seine-Maritime s'est rendu sur les lieux. Et face au refus du quinquagénaire de se rendre, avec l'accord du préfet , il a demandé l'intervention des hommes du RAID (Recherche Assistance Intervention Dissuasion ).
Entre-temps, devant la tournure des événements, le quartier a été bouclé par mesure de sécurité. Le réseau de gaz a été coupé et les sapeurs-pompiers ont été mobilisés en cas de besoin.
Le directeur départemental de la sécurité publique (DDSP) de Seine-Maritime s'est rendu sur les lieux. Et face au refus du quinquagénaire de se rendre, avec l'accord du préfet , il a demandé l'intervention des hommes du RAID (Recherche Assistance Intervention Dissuasion ).
Neutralisé en douceur par les hommes du RAID
Dès leur arrivée, les policiers d'élite ont analysé la situation, avant d'entamer des négociations avec le forcené. Au bout de près d'une heure d'échanges, ce dernier a accepté de sortir de l'habitation sans son arme. Il a été immédiatement neutralisé et interpellé en douceur. Il était 17h45 environ.
Le revolver et ses munitions ont été retrouvés dans la maison.
L'homme, qui demeure également à Petit-Quevilly, a été conduit à l'hôtel de police où il a été placé en garde à vue pour violences volontaires et dégradations. Il présentait les caractéristiques d'un individu qui était sous l'empire de l'alcool ou de stupéfiants, selon une source policière.
Le revolver et ses munitions ont été retrouvés dans la maison.
L'homme, qui demeure également à Petit-Quevilly, a été conduit à l'hôtel de police où il a été placé en garde à vue pour violences volontaires et dégradations. Il présentait les caractéristiques d'un individu qui était sous l'empire de l'alcool ou de stupéfiants, selon une source policière.