Un homme de 32 ans a été surpris en train de filmer une baigneuse qui se rhabillait dans sa cabine au centre aquatique Alex Jany, rue Pasteur, à Grand-Couronne, en Seine-Maritime.
Hier lundi 29 février, vers 19h30, la responsable de la piscine est alertée par des cris de femme provenant des vestiaires. Elle se précipite : une baigneuse âgée de 48 ans lui déclare qu'elle vient de découvrir qu'elle était filmée à l'aide d'une téléphone portable.
En se rhabillant, elle dit avoir remarqué la présence de l'appareil qui dépassait sous la porte de sa cabine. Il était tenu par une main d'homme. Son réflexe immédiat a été de mettre un coup de pied dans le téléphone. Elle soupçonne l'homme qui occupe la cabine contiguë à la sienne.
De fait, les policiers devront attendre une quinzaine de minutes avant de voir le suspect sortir de la cabine. Il est alors questionné mais il nie les faits. Il est emmené à l'hôtel de police. L'examen des deux téléphones portables en sa possession ne permettent pas de retrouver de photos compromettantes. Mais les policiers ne sont pas dupes : ils savent que le mis en cause a eu le temps de tout effacer.
Placé en garde à vue, l'homme a fini par reconnaitre avoir, en effet, filmé sa voisine de cabine. Il a effacé la vidéo avant l'arrivée de la police. Ses deux téléphones ont été saisis afin qu'ils puissent être soumis à une expertise des techniciens en cybercriminalité.
Hier lundi 29 février, vers 19h30, la responsable de la piscine est alertée par des cris de femme provenant des vestiaires. Elle se précipite : une baigneuse âgée de 48 ans lui déclare qu'elle vient de découvrir qu'elle était filmée à l'aide d'une téléphone portable.
En se rhabillant, elle dit avoir remarqué la présence de l'appareil qui dépassait sous la porte de sa cabine. Il était tenu par une main d'homme. Son réflexe immédiat a été de mettre un coup de pied dans le téléphone. Elle soupçonne l'homme qui occupe la cabine contiguë à la sienne.
De fait, les policiers devront attendre une quinzaine de minutes avant de voir le suspect sortir de la cabine. Il est alors questionné mais il nie les faits. Il est emmené à l'hôtel de police. L'examen des deux téléphones portables en sa possession ne permettent pas de retrouver de photos compromettantes. Mais les policiers ne sont pas dupes : ils savent que le mis en cause a eu le temps de tout effacer.
Placé en garde à vue, l'homme a fini par reconnaitre avoir, en effet, filmé sa voisine de cabine. Il a effacé la vidéo avant l'arrivée de la police. Ses deux téléphones ont été saisis afin qu'ils puissent être soumis à une expertise des techniciens en cybercriminalité.