Le préfet de la Seine-Maritime annonce ce mercredi qu'il a levé le plan particulier d'intervention (PPI) qui avait été déclenché à la suite de l'incident qui s'est produit le 21 janvier dans l'usine chimique Lubrizol à Rouen et qui avait généré des odeurs incommodantes.
Une décision qui intervient après que Delphine Batho, la ministre de l'Ecologie, a confirmé la fin de l'incident. La cellule de crise mise en place à la préfecture est également levée.
Sous le contrôle de la direction de l'environnement
Après la neutralisation la première semaine et l'enlèvement pour destruction de la substance malodorante, la deuxième semaine a été consacrée au nettoyage de la cuve et ces derniers jours au fond de la cuve. Le processus de neutralisation, d'enlèvement et de nettoyage a été contrôlé en permanence par la DREAL (Direction régionale de l'Environnement).
"Les émissions de mercaptan, à la cheminée de l'usine, n'ont à aucun moment atteint des niveaus susceptibles d'avoir des effets nocifs sur la santé", rappelle la préfecture dans un communiqué.
Redémarrage des activités sous condition
L'entreprise Lubrizol a été progressivement autorisée à redémarrer ses activités, à l'exception de l'unité dans laquelle figure la cuve qui a présenté ce dysfonctionnement. "Elle doit présenter un rapport complet sur les causes de l'incident, les mécanismes qui ont conduit à ce dégagement d'odeurs incommaodantes, les relevés réalisés pendant l'incident, et les mesures correctives susceptibles de garantir contre toute répétition d'un tel incident", souligne la préfecture.
"Le préfet ne lèvera la suspension d'activité de cette unité qu'après analyse de ce rapport par la DREAL et validation des mesures correctives", indique le communiqué.
Tirer les conséquences, en "toute transparence"
Comme il l'avait annoncé, le préfet confirme que le conseil départemental des risques sanitaires et technologiques, se réunira le 12 février prochain, puis le comité local d'information et de concertation (CLIC) "pour présenter les conséquences à tirer de cet évènement, en toute transparence, et en débattre avec les collectivités, les associations et les riverains".
Retrouvez tous les articles consacrés à l'incident chez Lubrizol, ici
Une décision qui intervient après que Delphine Batho, la ministre de l'Ecologie, a confirmé la fin de l'incident. La cellule de crise mise en place à la préfecture est également levée.
Sous le contrôle de la direction de l'environnement
Après la neutralisation la première semaine et l'enlèvement pour destruction de la substance malodorante, la deuxième semaine a été consacrée au nettoyage de la cuve et ces derniers jours au fond de la cuve. Le processus de neutralisation, d'enlèvement et de nettoyage a été contrôlé en permanence par la DREAL (Direction régionale de l'Environnement).
"Les émissions de mercaptan, à la cheminée de l'usine, n'ont à aucun moment atteint des niveaus susceptibles d'avoir des effets nocifs sur la santé", rappelle la préfecture dans un communiqué.
Redémarrage des activités sous condition
L'entreprise Lubrizol a été progressivement autorisée à redémarrer ses activités, à l'exception de l'unité dans laquelle figure la cuve qui a présenté ce dysfonctionnement. "Elle doit présenter un rapport complet sur les causes de l'incident, les mécanismes qui ont conduit à ce dégagement d'odeurs incommaodantes, les relevés réalisés pendant l'incident, et les mesures correctives susceptibles de garantir contre toute répétition d'un tel incident", souligne la préfecture.
"Le préfet ne lèvera la suspension d'activité de cette unité qu'après analyse de ce rapport par la DREAL et validation des mesures correctives", indique le communiqué.
Tirer les conséquences, en "toute transparence"
Comme il l'avait annoncé, le préfet confirme que le conseil départemental des risques sanitaires et technologiques, se réunira le 12 février prochain, puis le comité local d'information et de concertation (CLIC) "pour présenter les conséquences à tirer de cet évènement, en toute transparence, et en débattre avec les collectivités, les associations et les riverains".
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