Vingt-trois vélos, volés au cours d'une série de cambriolages, ont été retrouvés lors des perquisitions au domicile de cinq adolescents âgés de 17 ans. Les mis en cause, soupçonnés aussi de plusieurs incendies de poubelles, ont été déférés cet après-midi au palais de justice d'Evreux.
Au cours du deuxième semestre de l’année 2016, la brigade de gendarmerie de Pont-de-l’Arche (Eure) est intervenue à de multiples reprises sur les communes de Pont de l’Arche, d’Igoville et les Damps, afin de constater des cambriolages de résidences et diverses dégradations de biens d’utilité publique.
Les investigations réalisées par les enquêteurs de la brigade de gendarmerie Pont de l’Arche avec le renfort d’enquêteurs de la brigade de gendarmerie de Louviers et du groupe de lutte anti-cambriolage (GELAC) de la gendarmerie de l’Eure ont abouti le 6 et le 7 février à interpeller cinq mineurs âgés de 17 ans, résidant à Pont de l’Arche et Igoville.
Les mis en cause ont été présentés au parquet d’Evreux aujourd'hui, mardi 7 février, avant de faire l’objet d’une mise en examen et d’un contrôle judiciaire décidés par un juge des enfants du tribunal d’Evreux.
Les investigations réalisées par les enquêteurs de la brigade de gendarmerie Pont de l’Arche avec le renfort d’enquêteurs de la brigade de gendarmerie de Louviers et du groupe de lutte anti-cambriolage (GELAC) de la gendarmerie de l’Eure ont abouti le 6 et le 7 février à interpeller cinq mineurs âgés de 17 ans, résidant à Pont de l’Arche et Igoville.
« Ce sont ainsi 15 cambriolages qui ont été solutionnés dans les communes de Pont de l’Arche, Igoville et les Damps ; ainsi que des incendies de conteneurs poubelle commis le 15 juillet 2016 et le 31 octobre 2016 à Pont de l’Arche, et la dégradation d’un abri-bus également commise à Pont de l’Arche le 19 octobre 2016 », précise la compagnie de gendarmerie de Louviers.23 vélos ont pu être retrouvés au cours des investigations et ont été restitués à leurs propriétaires légitimes.
Les mis en cause ont été présentés au parquet d’Evreux aujourd'hui, mardi 7 février, avant de faire l’objet d’une mise en examen et d’un contrôle judiciaire décidés par un juge des enfants du tribunal d’Evreux.