Les enquêteurs ont saisi le pistolet et ses munitions, Une matraque télescopique, une barre métallique et un spray lacrymogène (Photo@Gendarmerie)
Trois jeunes gens, originaires de Pîtres et de Pont-de-l'Arche (Eure) ont été placés en garde à vue pour violences réciproques avec armes. Ils sont convoqués devant le tribunal correctionnel d'Évreux, pour être jugés en janvier prochain.
Les faits remontent au Jeudi 23 juin vers 16h30. Deux jeunes habitants de Pîtres se rendent à Pont-de-l'Arche. En route, ils rencontrent sur les quais de l'Eure un jeune homme avec lequel ils ont une rivalité ancienne.
Lacrymogène, barre de fer et matraque
Des invectives sont alors échangées. Seul contre deux, le jeune homme, domicilié à Pont-de-l'Arche, fait alors usage d'une bombe lacrymogène, puis s'empare ensuite d'une matraque télescopique qu'il gardait à proximité, alors qu'un des jeunes de Pîtres sort une barre métallique de son coffre de voiture. Plusieurs coups sont encore échangés par les protagonistes.
Puis les deux jeunes de Pîtres, retournent chez eux et reviennent à Pont-de-l'Arche, armés cette fois d'un pistolet qui tire des balles à blanc, qu'un d'eux possède à son domicile. Après avoir échoué à retrouver celui avec lequel ils ont eu une altercation un peu plus tôt, ils tirent un coup de feu en l'air alors qu'ils empruntent la route longeant les berges de l'Eure.
Trois interpellations
Chargée de faire toute la lumière sur cette affaire de violences, la gendarmerie de Pont de l'Arche, appuyée par le peloton de surveillance et d'intervention (PSIG) et la brigade de recherches (BR) de Louviers procède à l'interpellation rapide de deux des auteurs qui avaient regagné leur domicile respectif à Pîtres. Les perquisitions réalisées permettent ainsi de découvrir le pistolet et les barres métalliques utilisées lors de l'altercation.
Le lendemain matin, le troisième individu (de Pont-de-l'Arche) est à son tour entendu en tant que mis en cause sur les faits : il remet aux enquêteurs la bombe lacrymogène et la matraque télescopique utilisés.
Les trois protagonistes de cette affaire ont été remis en liberté avec une convocation pour le 24 janvier 2017, devant le tribunal correctionnel d'Evreux.
Les faits remontent au Jeudi 23 juin vers 16h30. Deux jeunes habitants de Pîtres se rendent à Pont-de-l'Arche. En route, ils rencontrent sur les quais de l'Eure un jeune homme avec lequel ils ont une rivalité ancienne.
Lacrymogène, barre de fer et matraque
Des invectives sont alors échangées. Seul contre deux, le jeune homme, domicilié à Pont-de-l'Arche, fait alors usage d'une bombe lacrymogène, puis s'empare ensuite d'une matraque télescopique qu'il gardait à proximité, alors qu'un des jeunes de Pîtres sort une barre métallique de son coffre de voiture. Plusieurs coups sont encore échangés par les protagonistes.
Puis les deux jeunes de Pîtres, retournent chez eux et reviennent à Pont-de-l'Arche, armés cette fois d'un pistolet qui tire des balles à blanc, qu'un d'eux possède à son domicile. Après avoir échoué à retrouver celui avec lequel ils ont eu une altercation un peu plus tôt, ils tirent un coup de feu en l'air alors qu'ils empruntent la route longeant les berges de l'Eure.
Trois interpellations
Chargée de faire toute la lumière sur cette affaire de violences, la gendarmerie de Pont de l'Arche, appuyée par le peloton de surveillance et d'intervention (PSIG) et la brigade de recherches (BR) de Louviers procède à l'interpellation rapide de deux des auteurs qui avaient regagné leur domicile respectif à Pîtres. Les perquisitions réalisées permettent ainsi de découvrir le pistolet et les barres métalliques utilisées lors de l'altercation.
Le lendemain matin, le troisième individu (de Pont-de-l'Arche) est à son tour entendu en tant que mis en cause sur les faits : il remet aux enquêteurs la bombe lacrymogène et la matraque télescopique utilisés.
Les trois protagonistes de cette affaire ont été remis en liberté avec une convocation pour le 24 janvier 2017, devant le tribunal correctionnel d'Evreux.