La jeune femme, soupçonnée de deux agressions, à bord du train Paris - Rouen, a été interpellée à se descente en gare de Oissel (Photo d'illustration)
Une jeune femme qui aura 19 ans dans moins d'un mois a reconnu avoir frappé deux voyageuses qui se trouvaient comme elle dans le train Paris - Rouen, samedi en fin d'après-midi. Devant les policiers qui l'ont interpellée à la gare de Oissel (Seine-Maritime), elle a invoqué le fait que ces deux femmes l'auraient regardée de travers.
L'agresseuse, originaire de Pau (Pyrénées Atlantiques) avait attiré l'attention des contrôleurs par son comportement violent. Dans le train, entre Paris et Mantes, elle s'en était pris à une femme âgée de 33 ans en lui assénant, sans aucune raison, un violent coup de poing au visage. La victime devait aller déposer plainte au commissariat de Mantes-la-Jolie, ville où elle réside.
Violences volontaires aggravées
Un peu plus tard, l'agresseuse récidivait. Elle frappait, toujours sans véritable motif, une femme de 36 ans, demeurant à Sotteville-sous-le-Val, près d'Elbeuf, à la suite d'une bousculade dans le train, selon la victime qui souffre d'un hématome important à l'oeil gauche. Cette dernière est allée se faire soigner au centre hospitalier Charles Nicolle.
Interpellée à sa descente du train, en gare de Oissel, grâce au signalement fourni par les contrôleurs de la SNCF, la mise en cause a été ramenée à l'hôtel de police et placée en garde à vue pour violences volontaires aggravées.
L'agresseuse, originaire de Pau (Pyrénées Atlantiques) avait attiré l'attention des contrôleurs par son comportement violent. Dans le train, entre Paris et Mantes, elle s'en était pris à une femme âgée de 33 ans en lui assénant, sans aucune raison, un violent coup de poing au visage. La victime devait aller déposer plainte au commissariat de Mantes-la-Jolie, ville où elle réside.
Violences volontaires aggravées
Un peu plus tard, l'agresseuse récidivait. Elle frappait, toujours sans véritable motif, une femme de 36 ans, demeurant à Sotteville-sous-le-Val, près d'Elbeuf, à la suite d'une bousculade dans le train, selon la victime qui souffre d'un hématome important à l'oeil gauche. Cette dernière est allée se faire soigner au centre hospitalier Charles Nicolle.
Interpellée à sa descente du train, en gare de Oissel, grâce au signalement fourni par les contrôleurs de la SNCF, la mise en cause a été ramenée à l'hôtel de police et placée en garde à vue pour violences volontaires aggravées.