Un conducteur va apprendre à ses dépens ce qu'il en coûte de conduire en état d'ivresse et de ne pas respecter le code de la route. L'homme en question, âgé de 25 ans et originaire de Petit-Quevilly, est ressorti de l'hôtel de police de Rouen après quelques heures passées en cellule de dégrisement et en garde à vue, avec une liste impressionnante d'infractions et de délits.
A fond la caisse
Dans le nuit de mardi 5 février, vers 3 heures du matin, les policiers de l'unité canine en patrouille route de Dieppe à Déville-lès-Rouen, sont alertés par le ronronnement voiture qui roule à vive allure. Il s'agit d'une Peugeot 306. Le conducteur semble avoir le pied lourd et pressé. Il grille ainsi un premier feu rouge, puis un deuxième en empruntant les voies Téor.
La voiture de police le prend en chasse, deux tons hurlants et girophare allumé. Cela n'a pas l'air d'émouvoir le chauffard qui appuie encore un peu plus sur le champignon, bien décidé à ne pas se faire rattraper. A l'angle des rues Jules Ferry et de la route de Dieppe, il grille un troisième feu rouge, puis un quatrième arrivé à l'intersection de l'avenue Fauquet, puis un cinquième au carrefour de la rue Schlach, et encore un sixième au croisement de la rue Montmiret. Enfin, après en avoir grillé un septième rue Gustave Gaillard, la voiture du fuyard s'immobilse sur le pont SNCF. Le conducteur ouvre sa portière, balbutiant quelques mots incompréhensibles...
La passagère s'en mêle
Les policiers tentent alors de l'interpeller. Mais l'homme, passablement éméché et belliqueux, insulte les policiers. Il refuse de décliner son identité, de présenter les papiers du véhicule et de se soumettre à l'épreuve de l'éthylotest. Rien que ça.
Sa passagère n'est guère mieux, qui traite les policiers de tous les noms d'oiseaux. La voiture de police a droit à quelques coups de pieds dans son pare-choc. Finalement, il faudra le renfort d'une autre patrouille de police-secours pour neutraliser le couple qui n'hésite pas à porter des coups de poings aux fonctionnaires.
Le conducteur et sa passagère, elle aussi en état d'ivresse, ont été placés en garde à vue. Ils seront cités à comparaître dans les prochaines semaines devant le tribunal correctionnel de Rouen, pour refus d'obtempérer, infractions au code de la route, mise en danger d'autrui et rébellion sur agents de la force publique.
A fond la caisse
Dans le nuit de mardi 5 février, vers 3 heures du matin, les policiers de l'unité canine en patrouille route de Dieppe à Déville-lès-Rouen, sont alertés par le ronronnement voiture qui roule à vive allure. Il s'agit d'une Peugeot 306. Le conducteur semble avoir le pied lourd et pressé. Il grille ainsi un premier feu rouge, puis un deuxième en empruntant les voies Téor.
La voiture de police le prend en chasse, deux tons hurlants et girophare allumé. Cela n'a pas l'air d'émouvoir le chauffard qui appuie encore un peu plus sur le champignon, bien décidé à ne pas se faire rattraper. A l'angle des rues Jules Ferry et de la route de Dieppe, il grille un troisième feu rouge, puis un quatrième arrivé à l'intersection de l'avenue Fauquet, puis un cinquième au carrefour de la rue Schlach, et encore un sixième au croisement de la rue Montmiret. Enfin, après en avoir grillé un septième rue Gustave Gaillard, la voiture du fuyard s'immobilse sur le pont SNCF. Le conducteur ouvre sa portière, balbutiant quelques mots incompréhensibles...
La passagère s'en mêle
Les policiers tentent alors de l'interpeller. Mais l'homme, passablement éméché et belliqueux, insulte les policiers. Il refuse de décliner son identité, de présenter les papiers du véhicule et de se soumettre à l'épreuve de l'éthylotest. Rien que ça.
Sa passagère n'est guère mieux, qui traite les policiers de tous les noms d'oiseaux. La voiture de police a droit à quelques coups de pieds dans son pare-choc. Finalement, il faudra le renfort d'une autre patrouille de police-secours pour neutraliser le couple qui n'hésite pas à porter des coups de poings aux fonctionnaires.
Le conducteur et sa passagère, elle aussi en état d'ivresse, ont été placés en garde à vue. Ils seront cités à comparaître dans les prochaines semaines devant le tribunal correctionnel de Rouen, pour refus d'obtempérer, infractions au code de la route, mise en danger d'autrui et rébellion sur agents de la force publique.