Cette nuit de jeudi peu après 3 heures, un automobiliste a été pris en chasse par des véhicules de police entre Grand-Quevilly et la Vaupalière, via Rouen.
Au départ, une infraction au code de la route : une Peugeot 307 franchit à toute allure un feu rouge avenue Aristide Briand à Grand-Quevilly. Une patrouille de police-secours, témoin direct des faits, se lance à la poursuite du véhicule pour tenter de le rattraper et le contrôler. En vain.
Sur l'A150, il perd le contrôle du véhicule
Les policiers actionnent alors gyrophare et avertisseurs sonores. Se voyant poursuivi, le chauffard accélère et prend la direction de la Sud lll. Arrivé au rond-point de la Motte, il bifurque vers le pont Flaubert et se retrouve sur l'A150.
La Peugeot ne faiblit pas et fonce à tombeaux ouverts vers Barentin, toujours poursuivis par des véhicules de police, dont un équipage de la brigade anticriminalité venu en renfort. Peu avant la Vaupalière, dans une zone de travaux, la voiture en fuite percute des cônes de sécurité disposés sur la chaussée pour réduire la circulation sur une voie. A ce moment-là, dans une légère courbe, le conducteur perd le contrôle de la Peugeot qui traverse le terre plein et s'immobilise sur la bande d'arrêt d'urgence.
Prisonnier des airbags
Les policiers se positionnent autour du véhicule accidenté et aide à sortir l'automobiliste qui est coincé dans l'habitacle en raison du déclenchement des airbags.
Dans le choc, les vitres de la Peugeot ont explosé littéralement, mais le conducteur n'a pas été blessé. Interpellé, ce dernier, âgé de 30 ans et demeurant à Saint-Étienne-du-Rouvray, est alcoolisé.
Les policiers constatent qu'il a du sang séché sur la tête : il explique avoir été blessé lors d'une "soirée agitée", sans plus de précisions. Il est alors conduit aux urgences du CHU pour examen avant d'être ramené à l'hôtel de police. Il sera placé en garde à vue pour refus d'obtempérer, défaut de permis de conduire et conduite en état d'ivresse.
Matériel suspect dans le coffre
Lors de son audition, il a dû s'expliquer sur la provenance du matériel de bricolage découvert dans le coffre de la Peugeot : tronçonneuse, perceuse, ponceuse, souffleur à feuilles ainsi que trois bidons de 20 litres de carburant. Il a affirmé aux enquêteurs ignorer à qui appartenait et d'où venait ce matériel.
Au départ, une infraction au code de la route : une Peugeot 307 franchit à toute allure un feu rouge avenue Aristide Briand à Grand-Quevilly. Une patrouille de police-secours, témoin direct des faits, se lance à la poursuite du véhicule pour tenter de le rattraper et le contrôler. En vain.
Sur l'A150, il perd le contrôle du véhicule
Les policiers actionnent alors gyrophare et avertisseurs sonores. Se voyant poursuivi, le chauffard accélère et prend la direction de la Sud lll. Arrivé au rond-point de la Motte, il bifurque vers le pont Flaubert et se retrouve sur l'A150.
La Peugeot ne faiblit pas et fonce à tombeaux ouverts vers Barentin, toujours poursuivis par des véhicules de police, dont un équipage de la brigade anticriminalité venu en renfort. Peu avant la Vaupalière, dans une zone de travaux, la voiture en fuite percute des cônes de sécurité disposés sur la chaussée pour réduire la circulation sur une voie. A ce moment-là, dans une légère courbe, le conducteur perd le contrôle de la Peugeot qui traverse le terre plein et s'immobilise sur la bande d'arrêt d'urgence.
Prisonnier des airbags
Les policiers se positionnent autour du véhicule accidenté et aide à sortir l'automobiliste qui est coincé dans l'habitacle en raison du déclenchement des airbags.
Dans le choc, les vitres de la Peugeot ont explosé littéralement, mais le conducteur n'a pas été blessé. Interpellé, ce dernier, âgé de 30 ans et demeurant à Saint-Étienne-du-Rouvray, est alcoolisé.
Les policiers constatent qu'il a du sang séché sur la tête : il explique avoir été blessé lors d'une "soirée agitée", sans plus de précisions. Il est alors conduit aux urgences du CHU pour examen avant d'être ramené à l'hôtel de police. Il sera placé en garde à vue pour refus d'obtempérer, défaut de permis de conduire et conduite en état d'ivresse.
Matériel suspect dans le coffre
Lors de son audition, il a dû s'expliquer sur la provenance du matériel de bricolage découvert dans le coffre de la Peugeot : tronçonneuse, perceuse, ponceuse, souffleur à feuilles ainsi que trois bidons de 20 litres de carburant. Il a affirmé aux enquêteurs ignorer à qui appartenait et d'où venait ce matériel.