Louisa, la jeune soeur de Norah B., 47 ans, dont le cadavre ligoté a été découvert dans le cagibi de son appartement à Amfreville-la-Mi-voie, près de Rouen, a été mise en examen pour homicide volontaire (meurtre) ce vendredi soir.
La meurtrière présumée, âgée d'une quarantaine d'années et domiciliée en région parisienne, a été présentée dans l'après-midi, à l'issue de sa garde à vue, au juge d'instruction en charge du dossier. Le juge des libertés et de la détention (JLD) a prononcé son placement en détention provisoire, conformément aux réquisitions du magistrat du parquet.
La meurtrière présumée, âgée d'une quarantaine d'années et domiciliée en région parisienne, a été présentée dans l'après-midi, à l'issue de sa garde à vue, au juge d'instruction en charge du dossier. Le juge des libertés et de la détention (JLD) a prononcé son placement en détention provisoire, conformément aux réquisitions du magistrat du parquet.
Intrigués par la mise en scène
Le corps sans vie de Norah B. avait été retrouvé par les policiers vendredi 29 avril vers 19 heures dissimulé dans une sorte de cagibi, à son domicile rue Jules Vallès à Amfreville-la-Mi-voie. C'est sa fille, âgée de 27 ans, qui avait alerté d'abord les sapeurs-pompiers puis les services de police, inquiète de ne pas avoir de nouvelles de sa mère depuis plusieurs jours.
En allant vérifier dans l'appartement, les policiers ont alors découvert le corps sans vie de la quadragénaire. Elle était ligotée mais ne portait pas de traces d'impacts de balles et de plaies suspectes à l'arme blanche.
Toutefois, la piste de l'acte criminel est vite apparue aux yeux des enquêteurs compte tenu de la mise en scène et des éléments recueillis sur les lieux.
L'autopsie, pratiquée à l'institut médico-légal, a révélé que la victime avait reçu des coups, qui sont semble-t-il a l'origine du décès.
L'enquête de voisinage et l'audition des proches de Norah B., ont très certainement aidé les enquêteurs à les conduire sur la piste d'un très proche membre de sa famille, en l'occurrence sa jeune soeur Louisa.
Reste à savoir quels ont été les motivations de la meurtrière présumée et pourquoi elle en est arrivée à commettre l'irréparable.
L'enquête, confiée à la police judiciaire, va se poursuivre sur commission rogatoire du juge d'instruction dans le cadre de l'information judiciaire ouverte par le parquet.
En allant vérifier dans l'appartement, les policiers ont alors découvert le corps sans vie de la quadragénaire. Elle était ligotée mais ne portait pas de traces d'impacts de balles et de plaies suspectes à l'arme blanche.
Toutefois, la piste de l'acte criminel est vite apparue aux yeux des enquêteurs compte tenu de la mise en scène et des éléments recueillis sur les lieux.
L'autopsie, pratiquée à l'institut médico-légal, a révélé que la victime avait reçu des coups, qui sont semble-t-il a l'origine du décès.
L'enquête de voisinage et l'audition des proches de Norah B., ont très certainement aidé les enquêteurs à les conduire sur la piste d'un très proche membre de sa famille, en l'occurrence sa jeune soeur Louisa.
Reste à savoir quels ont été les motivations de la meurtrière présumée et pourquoi elle en est arrivée à commettre l'irréparable.
L'enquête, confiée à la police judiciaire, va se poursuivre sur commission rogatoire du juge d'instruction dans le cadre de l'information judiciaire ouverte par le parquet.