La gérante du bar à hôtesse à l'enseigne Sweet Night Bar, au Havre, a été remise en liberté jeudi et placée sous contrôle judiciaire. Cette femme âgée de 56 ans avait été interpellée mardi 11 juin en début d'après-midi et placée en garde à vue à l'hôtel de police où elle s'était présentée après avoir reçu une convocation de l'unité de protection sociale (UPS) du groupe de proxénétisme.
La commerçante est soupçonnée de s'être livrée à des faits de proxénétisme dans son établissement. Les investigations policières ont en effet permis d'établir que des hôtesses employées dans ce bar de nuit étaient chargées d'inciter les clients à acheter une bouteille de champagne, au prix de 200 euros, "avant de pouvoir bénéficier de prestations sexuelles dans un salon privé de l'établissement", raconte leparisien.fr qui a révélé l'affaire ce vendredi matin.
Des informations que confirme la Direction départementale de la sécurité publique (DDSP) à Rouen.
"Proxénétisme aggravé"
Une trentaine de clients ont été entendus dans le cadre de l'enquête pour "proxénétisme aggravé", "tenue d'un établissement de prostitution" et "travail dissimulé". Ils auraient confirmé le mode de fonctionnement du Sweet Night Bar qui a conduit les policiers à s'intéresser à cet établissement. Une vingtaine de prostituées fréquentaient le bar situé quai Notre-Dame sur port du Havre.
Présentée à un magistrat du parquet du Havre, la gérante s'est vu signifier, à titre conservatoire, la saisie de ses comptes bancaires, de son établissement (il devrait faire l'objet d'un arrêté de fermeture administrative), ainsi que d'un carnet de comptes, de bijoux, de vêtements de marque...
La mise en cause aurait nié l'ensemble des faits dont elle est soupçonnée.
Elle est convoquée à l'audience du tribunal correctionnel du Havre en date du 30 juillet.
La commerçante est soupçonnée de s'être livrée à des faits de proxénétisme dans son établissement. Les investigations policières ont en effet permis d'établir que des hôtesses employées dans ce bar de nuit étaient chargées d'inciter les clients à acheter une bouteille de champagne, au prix de 200 euros, "avant de pouvoir bénéficier de prestations sexuelles dans un salon privé de l'établissement", raconte leparisien.fr qui a révélé l'affaire ce vendredi matin.
Des informations que confirme la Direction départementale de la sécurité publique (DDSP) à Rouen.
"Proxénétisme aggravé"
Une trentaine de clients ont été entendus dans le cadre de l'enquête pour "proxénétisme aggravé", "tenue d'un établissement de prostitution" et "travail dissimulé". Ils auraient confirmé le mode de fonctionnement du Sweet Night Bar qui a conduit les policiers à s'intéresser à cet établissement. Une vingtaine de prostituées fréquentaient le bar situé quai Notre-Dame sur port du Havre.
Présentée à un magistrat du parquet du Havre, la gérante s'est vu signifier, à titre conservatoire, la saisie de ses comptes bancaires, de son établissement (il devrait faire l'objet d'un arrêté de fermeture administrative), ainsi que d'un carnet de comptes, de bijoux, de vêtements de marque...
La mise en cause aurait nié l'ensemble des faits dont elle est soupçonnée.
Elle est convoquée à l'audience du tribunal correctionnel du Havre en date du 30 juillet.