Les deux immeubles contigus ont été évacués hier soir en raison d'un risque d'effondrement - Illustration © Google Maps
Deux immeubles ont été évacués en catastrophe ce mardi soir au Havre (Seine-Maritime) en raison d'un risque d'effondrement. L'alerte a été donnée vers 20h30 par le locataire d'un appartement Airbnb qui a constaté que l'immeuble où il se trouvait, rue Aristide-Briand, était dans un état de délabrement inquiétant et présentait des fissures sur la façade.
De fait, les reconnaissances effectuées dans la foulée par les sapeurs-pompiers ont permis de confirmer qu'il y avait bien un risque d'effondrement pour deux immeubles contigus de quatre étages situés au 261 et 263 de la rue Aristide-Briand.
De fait, les reconnaissances effectuées dans la foulée par les sapeurs-pompiers ont permis de confirmer qu'il y avait bien un risque d'effondrement pour deux immeubles contigus de quatre étages situés au 261 et 263 de la rue Aristide-Briand.
Evacuation et arrêté de péril
Par mesure de précaution, des dispositions immédiates ont été prises, notamment l'évacuation de seize appartements répartis dans les deux immeubles, soit vingt-quatre personnes. D'autre part, une boulangerie, un bar-tabac et un restaurant situés au rez-de-chaussée des bâtiments ont été fermés.
De son côté, la mairie a pris en urgence un arrêté interdisant l'occupation desdits immeubles pour une durée de 24 heures, le temps de permettre une expertise approfondie et de déterminer si des risques d'effondrement sont bien réels.
Un périmètre de sécurité, avec des barrières, a été installé par les services municipaux. Douze personnes ont été relogées provisoirement à l'hôtel par la mairie, les autres ayant trouvé une solution de relogement dans leur famille, indique une source policière.
De son côté, la mairie a pris en urgence un arrêté interdisant l'occupation desdits immeubles pour une durée de 24 heures, le temps de permettre une expertise approfondie et de déterminer si des risques d'effondrement sont bien réels.
Un périmètre de sécurité, avec des barrières, a été installé par les services municipaux. Douze personnes ont été relogées provisoirement à l'hôtel par la mairie, les autres ayant trouvé une solution de relogement dans leur famille, indique une source policière.