Les démineurs de la sécurité civile ont procédé ce jeudi matin à une dernière levée de doute avant d'autoriser la préfecture à réouvrir l'établissement - Illustration
Le préfet a autorisé la réouverture du lycée Gustave Flaubert à Rouen, après les menaces d'attentat proférées dans la soirée d'hier mercredi. Les cours vont pouvoir reprendre ce jeudi après-midi.
La direction du lycée a eu connaissance de cette menace d'attentat dès hier soir. Un message, pris très au sérieux, a été publié sur un groupe privé de l'espace numérique de travail d'une classe de terminale de l'établissement, auquel ont accès les élèves, les parents d'élèves et les professeurs de cette classe.
La direction du lycée a eu connaissance de cette menace d'attentat dès hier soir. Un message, pris très au sérieux, a été publié sur un groupe privé de l'espace numérique de travail d'une classe de terminale de l'établissement, auquel ont accès les élèves, les parents d'élèves et les professeurs de cette classe.
Le lycée Gustave Flaubert est situé rue Albert Dupuis, dans le quartier des hauts de Rouen -Illustration © Google Maps
Les services de police ont été immédiatement informés et ont ouvert une enquête. Les investigations ont été confiées par le procureur de la République à la direction territoriale de la police judiciaire (DTPJ) de Rouen.
Dès lors, le préfet en accord avec le rectorat a pris la décision de fermer l'établissement ce jeudi matin.
Sans attendre, ces dernières heures le lycée a été passé au peigne fin. Les moindres recoins ont été inspectés par les démineurs de la sécurité civile et les chiens renifleurs d'explosifs de la police nationale. Aucun objet suspect n'a été découvert. D'où la décision de rouvrir l'établissement, désormais sécurisé, à l'ensemble des élèves et équipes pédagogiques.
Réelle menace ou mauvais canulard ? L'enquête permettra peut-être d'apporter bientôt une réponse.
« Si aucune menace n'a à ce stade été confirmée, un dispositif de sécurisation renforcée est mis en œuvre par la direction départementale de la sécurité publique, ainsi que la mobilisation des démineurs de la sécurité civile », a indiqué la préfecture dans un communiqué publié sur son compte Twitter, dès hier soir.
Dès lors, le préfet en accord avec le rectorat a pris la décision de fermer l'établissement ce jeudi matin.
Sans attendre, ces dernières heures le lycée a été passé au peigne fin. Les moindres recoins ont été inspectés par les démineurs de la sécurité civile et les chiens renifleurs d'explosifs de la police nationale. Aucun objet suspect n'a été découvert. D'où la décision de rouvrir l'établissement, désormais sécurisé, à l'ensemble des élèves et équipes pédagogiques.
Réelle menace ou mauvais canulard ? L'enquête permettra peut-être d'apporter bientôt une réponse.