Illustration
Le fait d'introduire des objets interdits à l'intérieur d'une prison est réprimé par la loi. Deux hommes, âgés de 23 et 24 ans, risquent de l'apprendre à leurs dépens lorsqu'ils comparaîtront devant le tribunal correctionnel.
Jeudi 10 mai, ils ont été surpris par la brigade anti-criminalité en patrouille vers 12h30 avenue Jean-Rondeau, à Rouen. A bord de leur véhicule banalisé, les policiers ont remarqué en passant devant la maison d'arrêt Bonne Nouvelle deux individus au comportement suspect. Ils ont mis en place une discrète surveillance. Sans tarder, les deux hommes ont alors balancé chacun un petit paquet par dessus le mur d'enceinte de l'établissement pénitentiaire. L'un des objets a atterri dans la cour de la prison, le second est resté accroché au filet de protection.
Jeudi 10 mai, ils ont été surpris par la brigade anti-criminalité en patrouille vers 12h30 avenue Jean-Rondeau, à Rouen. A bord de leur véhicule banalisé, les policiers ont remarqué en passant devant la maison d'arrêt Bonne Nouvelle deux individus au comportement suspect. Ils ont mis en place une discrète surveillance. Sans tarder, les deux hommes ont alors balancé chacun un petit paquet par dessus le mur d'enceinte de l'établissement pénitentiaire. L'un des objets a atterri dans la cour de la prison, le second est resté accroché au filet de protection.
Un téléphone dans un paquet
Les deux individus, originaires de Notre-Dame-de-Bondeville et de Sotteville-lès-Rouen, ont été immédiatement interpellés.
Dans un des paquets parachutés, les forces de l'ordre ont découvert un téléphone portable, avec son chargeur, ainsi qu'une coque de remplacement. Le matériel a été saisi. Les mis en cause ont été placés en garde à vue.
Dans un des paquets parachutés, les forces de l'ordre ont découvert un téléphone portable, avec son chargeur, ainsi qu'une coque de remplacement. Le matériel a été saisi. Les mis en cause ont été placés en garde à vue.