Un enfant de 13 ans a donné des sueurs froides à des passants et automobilistes hier mercredi 11 mai, dans un quartier de Rouen (Seine-Maritime). Le jeune garçon a pointé une arme, de type fusil d'assaut, dans leur direction, sans faire feu.
Une patrouille de la brigade canine est rapidement arrivée sur les lieux, rue Marin le Pigny, et a interpellé le gamin. Après vérification, il s'est avéré que l'arme était une réplique en métal d'un fusil d'assaut HK G36, l'arme dont viennent d'être dotées les forces de l'ordre, notamment les brigades anti-criminalité (BAC), dans le cadre de la lutte contre le terrorisme.
Lors de la fouille, les policiers ont découvert également sur l'adolescent deux armes de poing, toujours des répliques Airsoft qui tirent des billes en plastique : un pistolet Glock et un pistolet Sig Sauer, l'arme de service de la police nationale.
L'enfant a été conduit à l'hôtel de police pour être auditionné. Il a expliqué aux policiers avoir visé des passants et voitures pour vérifier que son fusil d'assaut dont une pièce était cassée, était toujours en état de fonctionner. Il a précisé qu'il avait rendez-vous dans une cave avec deux copains de son âge pour s'amuser à tirer.
Le collégien a été remis à son oncle, civilement responsable tandis que les répliques ont été saisies à titre conservatoire en attendant une décision du magistrat du parquet de Rouen.
Une patrouille de la brigade canine est rapidement arrivée sur les lieux, rue Marin le Pigny, et a interpellé le gamin. Après vérification, il s'est avéré que l'arme était une réplique en métal d'un fusil d'assaut HK G36, l'arme dont viennent d'être dotées les forces de l'ordre, notamment les brigades anti-criminalité (BAC), dans le cadre de la lutte contre le terrorisme.
Lors de la fouille, les policiers ont découvert également sur l'adolescent deux armes de poing, toujours des répliques Airsoft qui tirent des billes en plastique : un pistolet Glock et un pistolet Sig Sauer, l'arme de service de la police nationale.
L'enfant a été conduit à l'hôtel de police pour être auditionné. Il a expliqué aux policiers avoir visé des passants et voitures pour vérifier que son fusil d'assaut dont une pièce était cassée, était toujours en état de fonctionner. Il a précisé qu'il avait rendez-vous dans une cave avec deux copains de son âge pour s'amuser à tirer.
Le collégien a été remis à son oncle, civilement responsable tandis que les répliques ont été saisies à titre conservatoire en attendant une décision du magistrat du parquet de Rouen.