La gare SNCF de Rouen
Trois hommes et une femme installés sur le toit de la gare SNCF de Rouen à 3 heures du matin, voilà de quoi attirer l'attention. Et l'intervention de la police.
C'était cette nuit de lundi à mardi. Prévenu de cette présence pour le moins insolite, un équipage de police-secours s'est rendu place Tissot et a constaté en effet quatre individus sur un balcon au niveau du toit de la gare. A l'arrivée des forces de l'ordre, ils ont tenté de se dissimuler mais il était trop tard.
A la demande des policiers, les intrus - quatre hommes et une femme - sont redescendus de leur perchoir sans opposer la moindre résistance. Ils ont expliqué comment ils étaient montés sur le toit, d'abord en escaladant une grille, puis en s'agrippant à des câbles qui les a amenés sur une première toiture avant d'accéder, à l'aide d'une échelle, à la seconde toiture.
Ces monte-en-l'air, fortement alcoolisés, ont été interpellés et conduits à l'hôtel de police après un détour par le centre hospitalier de Petit-Quevilly pour obtenir un certificat de non hospitalisation avant leur placement en cellule de dégrisement.
Les jeunes gens, tous âgés de 21 ans, sont originaires de Mont-Saint-Aignan, Rouen et de Paris (la jeune femme).
Pour s'être introduits dans l'enceinte de la gare par des accès autres que ceux prévus à cet effet, ils encourent six mois d'emprisonnement et 3 750 € d'amende, stipule le code des transports.
C'était cette nuit de lundi à mardi. Prévenu de cette présence pour le moins insolite, un équipage de police-secours s'est rendu place Tissot et a constaté en effet quatre individus sur un balcon au niveau du toit de la gare. A l'arrivée des forces de l'ordre, ils ont tenté de se dissimuler mais il était trop tard.
A la demande des policiers, les intrus - quatre hommes et une femme - sont redescendus de leur perchoir sans opposer la moindre résistance. Ils ont expliqué comment ils étaient montés sur le toit, d'abord en escaladant une grille, puis en s'agrippant à des câbles qui les a amenés sur une première toiture avant d'accéder, à l'aide d'une échelle, à la seconde toiture.
Ces monte-en-l'air, fortement alcoolisés, ont été interpellés et conduits à l'hôtel de police après un détour par le centre hospitalier de Petit-Quevilly pour obtenir un certificat de non hospitalisation avant leur placement en cellule de dégrisement.
Les jeunes gens, tous âgés de 21 ans, sont originaires de Mont-Saint-Aignan, Rouen et de Paris (la jeune femme).
Pour s'être introduits dans l'enceinte de la gare par des accès autres que ceux prévus à cet effet, ils encourent six mois d'emprisonnement et 3 750 € d'amende, stipule le code des transports.