Illustration @ Infonormandie
Trois agents de la Suge (police ferroviaire) ont eu maille à partir avec un groupe d’individus alcoolisés sur le parvis de la gare de Rouen, place Bernard-Tissot.
A la fermeture du hall d’accueil de la gare SNCF, mardi vers 22h15, deux agents de la sûreté ferroviaire remarquent plusieurs individus en train de consommer de l’alcool sur la voie publique. Ils vont alors les voir pour leur rappeler qu’il est interdit de consommer des boissons alcoolisées dans ce périmètre interdit par arrêté municipal.
A la fermeture du hall d’accueil de la gare SNCF, mardi vers 22h15, deux agents de la sûreté ferroviaire remarquent plusieurs individus en train de consommer de l’alcool sur la voie publique. Ils vont alors les voir pour leur rappeler qu’il est interdit de consommer des boissons alcoolisées dans ce périmètre interdit par arrêté municipal.
Son copain essaie de le libérer ...
L’un des individus, âgé de 21 ans, n’appréciant guère la remarque repousse brutalement l’un des agents. S’ensuit des menaces et des insultes. Les deux policiers de la Suge tentent alors d’interpeller l’agresseur, mais ce dernier se rebelle et doit donc être amené au sol pour être neutralisé et menotté.
A cet instant, un autre membre du groupe s’interpose et tente de libérer son copain en essayant de lui tirer la jambe et en lançant une bouteille en direction des agents de la Suge. Un équipage de la brigade anti-criminalité arrive entre temps et interpelle ce dernier, âgé de 26 ans et sans domicile fixe à Rouen.
Les deux hommes sont finalement conduits à l’hôtel de police où ils sont placés en garde à vue pour outrages et rébellion sur personnes chargées d’une mission à caractère public.
A cet instant, un autre membre du groupe s’interpose et tente de libérer son copain en essayant de lui tirer la jambe et en lançant une bouteille en direction des agents de la Suge. Un équipage de la brigade anti-criminalité arrive entre temps et interpelle ce dernier, âgé de 26 ans et sans domicile fixe à Rouen.
Les deux hommes sont finalement conduits à l’hôtel de police où ils sont placés en garde à vue pour outrages et rébellion sur personnes chargées d’une mission à caractère public.