Un automobiliste à la conduite hésitante a été intercepté par une patrouille de la compagnie départementale d'intervention (CDI), à Rouen (Seine-Maritime). Les policiers ont remarqué en effet, cette nuit de mardi à mercredi peu avant minuit et demi, une Citroën Picasso qui circulait tous feux éteints place Restout. Intrigués, ils ont alors décidé de la rattraper pour procéder à un contrôle.
Le conducteur, voyant le gyrophare dans ses rétroviseurs, s'est arrêté un peu plus loin avec beaucoup de difficulté. Invité à présenter ses papiers et ceux du véhicule, l'homme déclare spontanément ne pas les avoir sur lui. Preuve de sa bonne foi, il décline nom, prénom et date de naissance. Il précise être domicilié à Darnétal, près de Rouen. Les policiers consultent le fichier des permis de conduire et ne retrouvent aucune trace d'un détenteur de permis avec cette identité. Le conducteur aurait-t-il menti ?
Son permis était annulé
Emmené à l'hôtel de police, il est soumis à l'épreuve du dépistage d'alcoolémie. L'éthylomètre affiche un taux de 0,14 mg par litre d'air expiré. A la limite du positif, le conducteur n'est donc pas en infraction. Interrogé à nouveau, il consent à dire la vérité en précisant qu'il est né non pas le 31 mai 1962 mais le 31 mai 1961. Et que le prénom qu'il a fourni n'est pas le bon. Explication : il conduisait sans permis, le sien ayant été annulé par décision de justice.
Le contrevenant s'est vu notifier une procédure pour défaut de permis, avant d'être laissé libre.
Le conducteur, voyant le gyrophare dans ses rétroviseurs, s'est arrêté un peu plus loin avec beaucoup de difficulté. Invité à présenter ses papiers et ceux du véhicule, l'homme déclare spontanément ne pas les avoir sur lui. Preuve de sa bonne foi, il décline nom, prénom et date de naissance. Il précise être domicilié à Darnétal, près de Rouen. Les policiers consultent le fichier des permis de conduire et ne retrouvent aucune trace d'un détenteur de permis avec cette identité. Le conducteur aurait-t-il menti ?
Son permis était annulé
Emmené à l'hôtel de police, il est soumis à l'épreuve du dépistage d'alcoolémie. L'éthylomètre affiche un taux de 0,14 mg par litre d'air expiré. A la limite du positif, le conducteur n'est donc pas en infraction. Interrogé à nouveau, il consent à dire la vérité en précisant qu'il est né non pas le 31 mai 1962 mais le 31 mai 1961. Et que le prénom qu'il a fourni n'est pas le bon. Explication : il conduisait sans permis, le sien ayant été annulé par décision de justice.
Le contrevenant s'est vu notifier une procédure pour défaut de permis, avant d'être laissé libre.